Le Pénis M'a Coûté Cher

chapitre 03

Flashback (suite)…

Romuald posa une main sur ma tête. Ce qui me fit lever la tête pour le regarder. Il est tellement beau avec ses fossettes si creusaient ses joues quand il souriant, un sourire charmeur. C'est bien cela qui m'avait fait chavirer le jour de notre rencontre. Je ne croyais pas au coup de foudre jusqu'à ce que mes yeux se posent sur lui dans ce supermarché.

Il me regardait tendrement en caressant mes cheveux. Nos regards étaient scellés. Ce moment avait quelque chose de doux et d’intime qui me faisait chaud au cœur. Je remarquais alors sa main qui glisse sur le long de son sexe. Je le voyais en train de se branler devant mes yeux. Son sexe se dressa et se tendit vers ma figure. Cela déclencha en moi un sursaut d’envie pour sa bite en érection. Il attrapa mon menton et tira ma tête vers son sexe dur et tendu.

Romuald : suce moi s'il te plaît.

Ma bouche s’ouvrit devant son gland pour le prendre. Je le reçu sur mon palais. Je l’aspirais dans ma bouche jusqu’à avoir le gland dans la gorge. Le léger grognement qu’émetait  mon chéri m’incitait à continuer. Je commençais des allées et venues avec ma tête pour faire coulisser sa bite dans ma bouche. Je le pompais lentement, aidés par ses reins qu’il avançait et reculait vers moi. Mes mains étaient posées sur mes cuisses. Par moment,  j'éprouvais des malaises avec une envie de vomir lorsque sa bite entrait tout au fond de ma gorge alors que j'essayais de lui faire une gorge profonde.

Romuald : tu n'as pas intérêt à te retirer encore..asshhh.. Amanda...aaah...ne t'arrête pas... continue bébé...aahh..

Malgré tout je le suçais avec un réel plaisir. Sa bite devenait de plus en plus dure dans ma bouche et grossissait au fil des secondes .Je le sentais contre mes lèvres. Super motivée, j’essayais d’en faire plus en suçant goulûment.  A un moment il se retira d’un coup de ma bouche. Il m’attrapa par l’épaule pour que je me relève. A peine je m'étais mise debout face à lui qu' il me tourna vers le mur. D’une pression de sa main, il me poussa à me cambrer pour tendre mon gros cul vers lui. Je gémissais d'excitation.

Je me laissai faire et cambrai mon dos. Je tendis mes fesses vers lui, J’écartai les jambes. Ses doigts vinrent caresser les grandes lèvres de mon sexe. Cela stimula instantanément mon envie de sentir quelque chose entrer dans mon sexe. Heureusement quelques secondes plus tard, le bout d’un gros engin dur vint se frotter sur mes lèvres.  Je sentis son sexe forcer l'entrée et finalement mon sexe s'ouvrit et avala ce gros plantain. Romuald connait son art et surtout il maîtrise mon corps. Ce n'est pas pour me déplaire.  Il frottait bien mon clitoris. Je criais mon plaisir à gorge déployée.

Quelques secondes plus tard, je le sentis  s’immiscer en moi après être ressorti et se fraya un passage dans ma fente suintant de mouille. Je contractai mes parois alors que sa queue touchait un point sensible avant de ressortir. Je poussais les reins vers l’arrière pour faire rentrer la bite de Romuald dans mon sexe. Il poussa aussi et s’enfonça en moi jusqu'à la garde.   Il essaie d’aller plus loin en me donnant un gros coup de rein vif.

- Aaaaasshh !

Je criai de plaisir en penchant la tête en avant et m’appuyant sur le mur avec mes bras tendus. Je restai immobile et gémis durant les secondes suivantes lorsque j'étais culbutée debout en levrette par Romuald. Il me limait bien fort en frappant son bassin contre mes fesses tendues vers lui. Je serrai les dens en grimaçant de douleur quand son gland butait au fond de ma chatte. Mon corps tremblait et je fus prise de spasme en prenant appui contre le mur comme si ma vie en dépendait. Je n'arrêtais pas de crier son nom tout en jouissant tandis que mon corps était secoué par un violent orgasme.

Romuald me baisait correctement et sans vergogne, avec fougue et animosité, comme si nos corps se connaissaient depuis toujours. Toutes mes pensées etaient concentrées sur mon ressenti à l’intérieur de mon sexe où se font des va-et-vient éprouvants et stimulants qui mettaient tous mes sens dans un état pas possible. Mais je n’avais pas envie que tout ceci s’arrête en ce moment. Malgré que ma foufoune était littéralement en feu, écartelée, défoncée par une grosse bite bien dure. J’halètais en geignant fortement