Richard se planta au fond de moi et resta immobile alors qu'il jouissait abondamment dans ma chatte, en poussant des grognements bruyants. J'étais ravie de le sentir jouir en moi. Il se vida les couilles et s'affala sur mn dos. Quelques secondes après, il se redressa et se retira de moi. Il tapota mes fesses qu'il avait bien cogné en culbutant. Je me tournai en le regardant et lui offrit un sourire crispé. Il remonta son caleçon et son pantalon. Je m'assis un peu sur le bord du canapé pour souffler. J'étais complètement lessivée mais comblée.Toutes ces sensations fortes que j'ai eues me plongeais dans un état de léthargie. J'avaisla sensation d'etre passé sous un train, je voyais des papillons danser devant mes yeux mi clos. Reprenant mes esprits et ma lucidité, je me rendais compte que je venais de baiser sur mon lieu de travail. Je me hâtai de remettre mon slip et mon pantalon. Richard me dit qu'il devait y aller. J'acquiesca en silence et on se sépara après un bisou éclair sur la bouche. Je le regardais partir en souriant. Une fois seule, je restais assise à rêvasser et à penser à mon Richard, le dieu du sexe.
Cet homme me faisait perdre la tête, je voulais faire tout pour le faire tomber amoureux de moi. Parce que moi je l'étais déjà et je ne manquais aucune occasion de le lui faire savoir. Au point de lui dire « Je t'aime ! » quand l'envie de le dire me prenait. J'adorais cette liaison et je ne voulais pas que ça s'arrête. C'est comme ça une nuit, après avoir fait l'amour, Richard me posa un problème et il avait rapidement besoin d'argent pour le régler sinon il risquait la prison.
Moi : La prison ?
Richard : oui bébé. Tu dois m'aider.
Moi : T'aider ? Mais moi je n'ai pas une somme pareille Richard.
Il avait les yeux larmoyants et donnait l'impression qu'il allait éclater en sanglots.
Moi : Non et non ! N'y pense même pas. Je ne peux pas faire ça.
Il me demandait de lui prêter l'argent de la cotisation dont j'étais la trésorière. J'avais plus de 1 million de FCFA de cotisation. Je ne pouvais pas faire une chose pareille. Et s'il ne remboursait pas à temps ? C'était moi qui irait en prison dans ce cas. Donc lui prêter de l'argent comme ça était trop risqué pour moi. E que lui dis d'ailleurs. Il me rassure aussitôt.
Richard : Je te promets de rembourser dans une semaine. Avec des intérêts si tu veux. Mais bébé aide moi stp.
Moi : Hum !
Richard : Tu es mon seul espoir.
Moi : Je ne te promets rien mais je vais y réfléchir.
Richard : Merci, merci bébé !
Moi : Je n'ai pas encore dit oui.
Richard : Si tu le dis. Viens là que je te remercie correctement.
Moi : Hahahaha
Il me tira vers lui pour m'embrasser tendrement comme il savait si bien le faire. Les jours passaient et je me sentais dans un dilemme. Je l'aimais. Oui mais on était ensemble que depuis trois semaines. Je n'en savais pas assez sur lui pour pouvoir lui prêter cette somme si colossale. Il me mettait tellement la pression que je finis par accepter mais à une condition.
Moi : Prenons un témoin !
Richard : Quoi ? Donc tu n'as pas confiance en moi ?
Moi : Si ! Mais...
Richard : Mais quoi ?
Moi : ...
Sa réaction vive me déstabilise. Je n'arrive plus à lui parler franchement.
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Le Pénis M'a Coûté Cher
General FictionLe zizi peut faire perdre la tếte à bien des personnes et surtout si ces personnes y sont accro. C'est comme la drogue, une fois que tu commences à y prendre goût, tu ne peux plus arrêter et tu en voudras toujours un peu plus et le pire, tes actes s...