D'un doigt, son majeur, Richard jouait avec mon clito. Et de l'autre doigt, son index, il le mit en moi doucement. C'etait si bon que je serrai les lèvres et baissai la tête en haletant. N'importe qui pouvait deviner que quelque n'allait pas chez moi. Je sentais que j'allais bientôt crier de plaisir à force de laisser Richard jouer avec mon clito de plus en plus sensible au toucher. Mais je ne pouvais pas crier de plaisir ici, en public. Trop de regards curieux se braqueront sur moi. Et j'aurais la honte de ma vie.Je fermais mes jambes qui commençaient à trembler. Je serrai les cuisses pour stopper la main de Richard. C'était sans compter la rigueur de sa main qui s'activait sur mon entrejambe et accélèrait ses mouvements sur mon sexe. Je frissonnais de plus en plus de plaisir. Je commençais à avoir très chaud. Je voulais me mette à poil pour sentir l'air frais sur ma peau mais je ne pouvais pas. Je sentis la sueur se former sur ma peau. Je leva la tête vers Richard qui semblait se délecter de chacune de mes réactions. Je le suppliai du regard mais son visage resta impassible. On ne dirait pas qu'il était en train de faire une cochonnerie.
Un mouvement circulaire de son doigt fut engagé sur mon bouton d'amour gonflé et très sensible. Et en me mordant les lèvres, la jouissance vint et me secoua le corps. Je fermai les yeux et explosa ma jouissance en silence. Je voyais à cet instant des petites particules devant mes yeux mis clos. Le corps tremblant de plaisir, je poussai un léger et long soupir en resserrant mes cuisses une fois encore pour inciter Richard à laisser mon entre-jambe tranquille. Quelques secondes après, j'ouvris les yeux en haletant.
Richard : Tout va bien ?
Je souris sans répondre. Il me sourit en comprenant que j'allais bien. Il retira lentement sa main de mes cuisses et prit une serviette de table pour se nettoyer les doigts. C'est vrai que c'était rempli de mouille. J'en profitai aussi pour passer mes mains en bas de la table et je repositionnai très vite mon string sur mon sexe et le bas de ma robe courte sur mes cuisses. Je regardais Richard qui buvait une gorgée de sa bière sans me regarder. Sous une impulsion, j'envoie une main sur ses cuisses. De ma main, je tâte la zone de sa braguette avant de sentir quelque chose de dure et gros. Je souris au contact de mes doigts sur sa bite. Richard tourna le regard vers moi, ses yeux me transperçaient et j'avais l'impression qu'il me disait d'arrêter ce que je voulais commencer là. Mais moi je comptais le torturer aussi. Je lui souris mais ne retira pas ma main de son sexe.
Richard : Tu n'as peur ?
Moi : Je devrais ?
Richard : Oui, je pense.
Moi :Hum !
Richard : Tu veux boire encore ?
Moi : oui
Richard : quoi ça ?
Moi: quelque chose de chaud, blanc et un peu gluant. Répondis-je innocemment.
Je parlais en caressant sa bite à travers son pantalon. Je sentais son sexe tressaillir, raidir et durcir à cet effet. Richard posa ses mains sur la table et me regarda en souriant. Je lui souris à mon tour. J'aime la surprise qui s'affiche sur son visage quand il sent sa braguette s'ouvrir. Il me fixait en fronçant les sourcils avec stupeur. Je rigolais tout bas en voyant la tête qu'il faisait. N'est-ce pas lui qui voulait que je lui prouve mon intérêt pour lui avec des actes ? Eh bien, monsieur est servi. Hihihi !
Il n'eût pas besoin de trop parler pour avoir mon accord et me convaincre de partir avec lui pour m'amener dans l'hôtel finir ce qu'on venait de commencer. Mes yeux traduisaient à eux seuls mon désir profond de me donner à lui et de le laisser me dévorer tout crue. Et mon corps brulait d'envie pour lui. Dès qu'on s'était retrouvé entre ses quatre murs, dans la chambre d'hôtel, nous nous sommes jetés l'un sur l'autre pour nous embrasser. Nous nous étions déshabillés rapidement, surtout moi tellement j'avais hâte de frémir sous son corps. Je suis restée vêtue de mon string.
Toute honteuse, et anxieuse par pudeur j'ai voulu fermer mes jambes ouvertes devant ses yeux. Mais il s'est vite placer entre mes cuisses. Il les écarta rapidement. Le petit string blanc était tellement humide qu'il ne cachait plus grand chose. Je rougis de honte. Je posai une main sur mon entrejambe découvert et exposé. Richard me regarda puis regarda ma main sur mon sexe que je pouvais sentir palpiter d'envie.
C'est vrai que la situation était assez excitante. Mais c'est quand même ma première fois avec Richard. Ce n'est pas mon copain. Je ne le connais pas dans sa manière de faire l'amour et ça me stressait. Je vis sa main se poser sur la mienne. Il fit pression et se mit à bouger ma main de tel sorte que je caressais mon sexe comme si je me masturbais. Mes doigts caressaient mes lèvres intimes qui étaient bien charnues. J'étais de plus en plus excitée. C'est ma première fois de me toucher devant quelqu'un et au lieu d'avoir honte, j'étais à l'aise. Je suis irrécupérable. Il appuyait sur un de mes doigts qui se trouvait au-dessus de mon clitoris pour que je puisse le frotter moi-même.
Moi : Hmmmmm !
Je sursaute en gémissant devant la sensation de plaisir que son geste ou mon geste me procurais. Je ne devrais pas, mais mes gestes étaient incontrôlables. Sans le vouloir, je me laissais emporter par mes pulsions du moment. Je commençais à me caresser l'entrejambe devant Richard qui ne ratait rien de ce beau spectacle que je lui offrait. Je soupirais d'aise par moment , j'avais déjà les yeux fermés et je savourais. Cette caresse intime que je me procure à l'aide de mes doigts étaient si bons, je le ressentais au plus profond de mon être. Je basculai la tête en arrière en me cambrant légèrement en frissonnant de plaisir. Je sentis mon corps vibrer, parcouru de spasmes et traversé par une chaleur intense.
Ma main glissait sur mon sexe et remontait vers mon pubis. J'effectuais de légers mouvement circulaires.Alors qu'elle redescendit, elle se faufila sous mon string en caressant mon pubis que j'avais pris le soin de raser. J'enfoncai mon majeur dans ma chatte déjà humide. Je pousse on doigt le plus loin possible dans mon sexe. Je trésaillis et j'écartais encore mes jambes jusqu'à avoir mal pour faciliter l'introduction d'un second doigt, un annulaire, dans ma chatte.
Moi : Hmmmmmmmmmm Richard...
Je lâcha un long gémissement tellement la sensation de mes doigts en moi était si bonne et jouissive. Mais j'en veux plus ! J'ouvris les yeux et mes yeux tombèrent sur Richard à genoux devant moi. Son attention était porté sur chacune des gestes que faisait ma main dans mon string. Pinçant les lèvres de ma bouche, je bougeais encore mes doigts dans mon sexe en regardant le visage de Richard. Sans le quitter des yeux, je me doigtais avec douceur pour attiser son désir. J'en voulais plus. Comme s'il avait lu en moi, Richard décida d'enlever mon string.
Je souleva alors le bassin pour l'aider à faire descendre mon string sous mes fesses. J'avais honte à cet instant que je ferma les yeux en sentant mon string glisser le long de mes jambes. Instinctivement, je fermais mes cuisses par pudeur. Richard les ouvre lentement mais fermement. Il introduit ensuite doucement un doigt dans ma fente. Je me crispai un peu alors qu'il bougeait agréablement entre mes lèvres intimes gonflées de désir. Je me détendis un peu au fil des secondes et du doigtage qui se poursuivait dans mon sexe.
Je regardais Richard. Entre frayeur et plaisir, je ne savais où me positionner à cet instant. Mais avouons qu'il le faisait très bien. Il se redressa et se colla sur le rebord du lit et sa main vint se poser sur ma poitrine. Il caresse mon sein dénudé, le prenant dans sa main et tournant la masse avec lenteur. Je ne me souviens pas de la dernière fois que j'ai éprouvé un tel plaisir de manière si inattendu et avec autant de... grâce. Ses gestes n'étaient pas brusques alors qu'il continueait de me doigter pour me baiser en douceur avec son doigt. C'est si bon que je souriais béatement l'air satisfait en fixant le visage de Richard.
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Le Pénis M'a Coûté Cher
General FictionLe zizi peut faire perdre la tếte à bien des personnes et surtout si ces personnes y sont accro. C'est comme la drogue, une fois que tu commences à y prendre goût, tu ne peux plus arrêter et tu en voudras toujours un peu plus et le pire, tes actes s...