Moi : Bonsoir ! Bienvenue.
Richard : Comment tu vas ?
Moi : Bien ! Attends je te donne une chaise.
J'étais dans tous mes états, j'avais une chaise devant moi mais je me mis à tourner en rond, tellement sa présence me rendait gauche.
Richard : Euh... Amanda il y a une chaise ici.
Moi : Ah oui ! C'est vrai. Assied toi !
Ricard : En fait je ne vais pas durer.
Moi : Ah bon ? Mais pourquoi ?
Richard : je suis exténué.
Moi : Oh !
Richard : Je dois me doucher, manger et me reposer. J'ai beaucoup travaillé.
Moi : Je comprends.
Richard : Ma femme n'est toujours pas de retour.
Moi : ...
Richard : Et puis, je voulais absolument passer te remettre l'argent aujourd'hui. Parce que je n'aurai plus le temps après.
Moi : ...
Je ne parlais plus. Avec un air rêveur, je regardais seulement ses lèvres bouger. Ma voix résonnait en écho dans ma tête. Et ma chatte palpitait de plus en plus.
Richard ; Je priais même pour que tu ne partes pas avant mon arrivée.
Moi ; Ah bon ?
Richard : Oui ! Tiens !
Il sortit 50000 FCFA qu'il me remet. Il m'expliquait qu'il devait payer pour les autres qu'il avait manqué avant son arrivé.
Richard : Le compte est bon non ?
Moi : Oui
Richard : d'accord ! Au-revoir !
Je le regardais partir. Mais mû par une subite pulsion, je le rappelais.
Moi : Attends !
Richard : Oui ?
Moi : Je voudrais t'inviter le dimanche soir à prendre un pot avec moi.
Richard me regarde avec un air surpris.
Moi : Histoire de déstresser et de passer du temps ensemble. Si tu veux !
Richard : Amanda...
Moi : Ne dis rien stp !
Richard : ...
Moi : Je te communiquerai le lieu par message.
Je m'étais retournée ne voulant plus continuer la discussion. J'avais peur qu'il ne change d'avis. Mais grande fut ma surprise quand il s'était rapproché de moi pour me retourner et m'embrasser. J'écarquille les yeux en frissonnant au contact de ses lèvres sur les miennes. Le baiser était bref mais doux, tendre, succulent. Je levais mon pied droit en fermant les yeux en savourant le gout. Je ne voulais pas qu'il s'arrête. Mais...
Richard : A dimanche !
Moi ; Ok !
Richard : Porte-toi bien d'ici là.
Il me refit un bisou sur le front et partit. Je le regarde en jubilant. Je voulais rêver mais la réalité me rattrapait. C'était Richard d'autrui. Je n'avais pas le droit d'y toucher ni flirter avec lui. Mais que faire ? C'était trop tard pour cette question car on s'était déjà embrasser. Ce baiser m'avait rendu dingue. Et pour moi, c'était comme un brin d'espoir. S'il m'a embrassé en premier, cela voudrait dire qu'il ne devait pas être indifférent à mon charme. Je lui plaisais autant qu'il me plaisait.
Je n'étais pas la seule à ressentir cette énergie électrisante et cette attraction envers lui quand il est devant. En fait ce baiser entre nous avait été l'alarme déclencheur. Mais je l'ignorais. J'avais subitement chaud. Mon entrejambe était humide. Le fond de mon slip était mouillé. Dès qu'il partit, je pris la décision de l'avoir coûte que vaille. Je voulais goûter à cet homme, ne serait qu'une seule fois. J'avais très envie de lui malgré qu'il soit marié. Peut-être qu'après avoir couché avec lui, j'allais me lasser de lui et le laisser à son épouse. Mais ma décision était prise. J'allais tout faire pour l'avoir dans mon lit.
Chaque matin avant le fameux dimanche, je prenais la peine de l'envoyer un message pour lui souhaiter bonne journée et le soir au moins un message de bonne nuit. Lorsque la nuit, je n'arrivais pas à dormir, je me permettais de l'appeler prétextant une excuse bidon. Je savais très bien que sa femme était toujours en voyage, donc j'en profitais au maximum. Je comptais les jours qui me séparaient du dimanche. On ne voyait pas. Il me manquait terriblement, je voulais le revoir, ressentir ses lèvres sur les miennes.
Je voulais qu'il aille un peu plus loin, qu'il embrasse chaque parcelle de mon corps nu, qu'il me caresse, qu'il fasse de moi sienne. Je le désirais terriblement comme une folle. Vient finalement le jour du rendez-vous, j'avais choisi méticuleusement les habits que je devais porter. On devait se retrouver à 15h dans une crèmerie de la place. Le matin très tôt, je suis allée laisser ma fille chez ma mère. Ma mère ne manqua pas de me faire une remarque sur mon humeur joyeuse. Je lui réponds que j'allais voir quelqu'un. Elle a compris qu'il s'agissait d'un homme. Si seulement elle savait que c'était Richard l'homme d'autrui qui me rendait si fébrile !
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Le Pénis M'a Coûté Cher
General FictionLe zizi peut faire perdre la tếte à bien des personnes et surtout si ces personnes y sont accro. C'est comme la drogue, une fois que tu commences à y prendre goût, tu ne peux plus arrêter et tu en voudras toujours un peu plus et le pire, tes actes s...