Fucking Obsession [Th. K.]

Tome 3 ~ 1 : Days and days - Years and years

Bonjour tout le monde ! OMG Ma Golden Readers je suis si heureuse de revenir avec le premier chapitre du Tome 3 de Fucking Obsession. J'avais si hâte de le poster.

Bon, tout d'abord, j'ai besoin de vous mettre quelques avertissements pour ce chapitre. TW : violence physique et morale, mutilation et allusion au su*cide. Je préfère vous prévenir, car ces sujets peuvent vous mettre mal à l'aise.

Aussi, il y a un passage avec des actions et des pensées en italique, exposés au milieu. Cela veut tout simplement dire que celles-ci se passent au même moment que ce qui est écrit précédemment.

Je ne vous retiens pas plus longtemps et je vous souhaite une bonne lecture. On se retrouve en bas.

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La porte était lourde, mais elle la poussa tout de même avec facilité. Elle avait l'habitude maintenant et ses bras connaissaient la force qu'ils devaient y mettre pour entrer.

Quand ses affaires furent remisées, elle enlaça rapidement et boucla joliment la ceinture. Ses vastes cheveux s'édifièrent dans un chignon bas. Ses mains expérimentèrent du gel désinfectant, de l'eau et du savon plantureusement. Une autre porte barricada son chemin et elle utilisa son pied pour la remuer.

La liberté était pour elle la possibilité d'action ou de mouvement, avec une absence de contrainte et sans être soumise à la servitude.

« Salut, tu vas bien ? », elle fit une unique bise.

« Je vais super bien et toi ? », un petit 'hm' fut sa seule réponse.

« Tu vas en service aujourd'hui, car il y a plus de monde que prévu. »

La confiance en soi était pour elle la capacité à vivre et à s'accomplir de manière autonome et sereine. C'est également considérer que l'on a une certaine valeur. On prend alors soin de soi, on se respecte et on prend confiance dans tout ce que l'on entreprend en s'estimant grandement.

« Ce plat pour la 127 », elle se hâta depuis maintenant vingt minutes en se précipitant entre chaque table, chaque plat, chaque appel de son nom.

« Ok »

Son visage si mignon l'obligea à revenir et à poser un baiser sur sa joue.

« J'aime quand tu fais ça, tu sais ? », elle entendit la riposte de son action, mais elle était déjà en train de déposer deux assiettes sur une table, souriant poliment aux clients.

L'épanouissement était pour elle l'atteinte d'un stade de développement complet et heureux avec l'acquisition de la plénitude de ses facultés intellectuelles ou physiques. Mais c'était semblablement être bien dans sa peau et dans son corps.

« Je te le fais tous les jours. »

Elle ressentait ses émotions depuis maintenant deux ans.

« Cayetana on se dépêche »

Le temps était pour elle une addition de plusieurs phases de déroulement d'une action, d'une opération avec une succession d'événements plus ou moins longue.

Sa tête était appuyée contre l'épaule de l'homme. Ses yeux étaient lourds et la caresse dans son crâne augmentait ce fait.

« Cayetana ne t'endort pas, nous sommes bientôt arrivés », une voix douce la réveilla de sa somnolence.

Elle ouvrit ses yeux et vit le métro ralentir.

La solitude était pour elle l'état durable et subi d'un isolement psychique, vivant en elle jusqu'au plus profond de son être.