Et si on se retrouvait

Chapitre 3 RETROUVAILLES

Salut a tous !! Merci pour vos retours, cela me fait plaisir, vous n'imaginez pas à quel point !

N'oubliez pas de me laisser un petit commentaire et de cliquez sur la petite étoile

Je vous laisse avec le chapitre 3 en espérant qu'il vous plaise. 😊

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Théo et Célia s’embrassent, encore et encore, se retrouvant, savourant ce contact électrisant qu’ils ne ressentent qu’ensemble à chaque fois que leurs lèvres se rencontrent, avec cette impression d’avoir été en apnée pendant des mois, enfin ils peuvent respirer à nouveau.
La température grimpe entre eux quand Célia stoppe Théo.

Célia : Qu’est-ce que tu fais la ? Comment tu m’as trouvé ?

Théo : Je t’ai trouvée grâce à ton grand père et ton père qui m’ont donné ton adresse.
Ton père m’a dit que tu avais deux jours de congés à partir de cet après-midi, donc je me suis arrangé pour partir de l’Institut à ce moment-là.

Célia : Partir de l’Institut ? Pourquoi tu es parti de l’institut ?

Théo : J’avais besoin de changer d’air, donc je pars à Londres quelques semaines, aider le Chef pour la création de sa nouvelle carte à la rentrée mais avant je me suis rappelé ton invitation et de toutes ces choses qu’on devait faire à Paris.

Célia : Tu pars à Londres quelques semaines ? Mais et le Double A ? Et…

Théo : Célia… 

Théo la regarde intensément, et sans la quitter des yeux il ferme la porte.
Célia sent son cœur battre à tout rompre, comme il lui avait manqué et d’une voix impatiente elle lui répond :

Célia : Tu as raison, on s’en fout

                🌶️🌶️🌶️

Sur ces mots, elle se jette sur ses lèvres, noue ses bras autour de son cou. Leurs langues se mêlent avec ardeur, leurs corps retrouvant instinctivement leurs habitudes.

Théo la soulève et elle enroule ses jambes autour de sa taille alors qu’il se dirige vers la chambre.

Ils s’embrassent encore et encore, enivrés l’un de l’autre.
Célia submergée par toute ses sensations, vacille et s’agrippe au t-shirt de Théo.

Dieu qu’elle l’aimait follement.
Théo finit par lui retirer son haut et trace un sillon de baisers jusqu’à son cou, il sait combien cela la rend folle, dans un même temps, il attrape ses seins qu’il malaxe et titille ses tétons.

Célia n’est pas en reste non plus, elle passe ses mains sous t-shirt et lui en débarrasse. Elle caresse avidement chaque parcelle de son corps. Que sa peau lui avait manquée !

Toucher sa peau, sentir son odeur, cet endroit au creux de son cou …

Célia : Théo, prends-moi, j’en peux plus !

Théo la débarrasse de son shorty noir en dentelle et lui de son boxer.
Célia l’embrasse dans le cou, sur son torse, cela le rend fou, il l’allonge et se positionne au-dessus d’elle.

Leurs yeux s’ancrent et d’une poussée, il entre en elle.
Leurs respirations se bloquent et gémissent en même temps.
Théo commence ses va-et-vient.
Il n’y a plus qu’eux, leurs gémissements et le frottement de leurs corps.

Au bout d’un moment, leurs respirations deviennent difficiles.
Les gémissements de Célia se font de plus en plus incontrôlables.

Célia : Théo, j’ai besoin… Je vais…