Là, le syndrome de la page blanche,
De quoi s'en faire un sang d'encre, à remplir
Des tonnes d'encriers. C'est quand elle flanche,
La plume sur la feuille. Peur la pire,
De ne rien écrire, ne saigner
Le papier d'un sang bleu ; faire couler
Les mots compliqués, caligraphiés
Sur le blanc pâle et parcheminé.
Ne pas écrire ces mots indécis,
Qui ont effrayés tous ces écoliers.
Peur de n'écrire cette poésie,
Une tranche de vie reformulée.
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Testament d'un vivant
PoesiaReceuil de poèmes plus ou moins courts et plus ou moins beaux, écris entre deux cours ••• Je vous conseille, si vous ne voulez pas tout lire, de commencer plus vers la fin, la qualité des poèmes s'améliore dans le temps. ••• En vous souhaitant une b...