~Chapitre 15~

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Pdv- Chuuya

1 semaine plus tard-

Dazai et Chuuya étaient tout deux dans la voiture la plus luxueuse du train. Plateau fait d'or où des fruits frais et des petits gâteau au fruit et au chocolat. Les banquettes étaient d'un confort que Chuuya n'avait jamais connu dans un moyen de transport. Tout ce luxe car Dazai est un prince et Chuuya en est également un par alliance !

Mais malgré tout ça... Chuuya était crevé et le voyage était plus qu'exténuant. 

Et lui qui espérais pouvoir discuter avec Dazai le long du voyage... Il a vite compris que ça allait pas pouvoir se faire.  Car Chuuya a découvert que son époux a un sacré mal de transport ! Il a passé un temps pas possible à dégueuler au toilette. Et quand il rend pas ses tripes, le brun dort comme un bébé. 

Donc... Le roux était seul dans cet immense wagon luxueux a regardé le paysage défilé à une vitesse folle. Ses pensées été dirigé vers ses parents qu'il a dû laissé derrière lui et à sa seule amie Mao Mao qui n'a plus personne pour tester ses produits de beauté dorénavant.

Oui... Maintenant... Il n'existe dorénavant que Chuuya et Dazai...Rien qu'eux deux....Et personne d'autre...

Lorsqu'ils arrivèrent dans la gare de la ville, un fiacre les attendait pour les mener à leur demeure. Le brun semblait moins malade dans le fiacre que dans le train. Serait-ce car il n'a plus rien à rendre ? 

C- Tu as vraiment une sale mine...

D- Oui... Les trains, les voitures me font un effet bœuf...

C- J'ai vu ça...

Les deux amants arrivèrent enfin chez eux. La maison était une maison qui a été construite dans le style japonais le plus traditionnel. Elle était très grande et parfaitement au goût de Chuuya en ce qui concerne la façade et le jardin. L'intérieur était totalement vide... Comme l'avait promit l'empereur, aucun domestique n'est présent. Les deux amants étaient enfin libre de leur mouvement. L'entièreté du mobilier semblait avoir été retiré. Le roux s'attendait à voir des dorures au plafond, des portes au peintures délicates ou même des paravents luxueux. C'était une maison certes très grande mais d'une simplicité qui rappelait à Chuuya la maison où il grandi. 

Dazai lui était aussi heureux qu'un gamin dans un magasin de jouet, il sautillait dans ce qui était le salon.  

D- Tu as vu Chuuya ? C'est notre maison !!! C'est notre maison d'amoureux ! Rien qu'à toi et moi !

Chuuya sourit à la fois amusé et attendri- Oui... On est chez nous...

Les deux hommes se mirent alors à commencer leur emménagement, Dazai activa l'électricité. Cette maison devait sûrement être une des seules possédant l'électricité. Ils rangèrent le peu d'affaires qu'ils avaient amené avec eux ici dans la grande armoire qui se trouvait dans leur chambre conjugale. 

Alors que le jour commençait à tomber, que la fraicheur se faisait plus sentir, que leur force commençait à les quitter doucement. Les deux hommes se mirent à réfléchir à ce qu'ils allaient manger. 

Dazai eut alors une idée.

D- Si tu veux je connais un restaurant qui n'est pas trop loin d'ici à pieds ! Je... C'est les parents d'un ami de mon colocataire à l'hôpital qui le gère. 

Chuuya sourit, il avait pas envie de cuisiner donc la proposition du brun l'arrangeait.

C- Banco ! Allons 'y

  Ils prirent alors la direction du restaurant en souriant. Ils allaient fêter le début de leur vie à deux dans ce restaurant !

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Dans le restaurant planait une ambiance familial qui remémorait à Chuuya l'ambiance du salon de thé de ses parents. Et ça lui réchauffait le cœur.

Autre bon côté de l'endroit, personne ici ne les connait.

Ils pouvaient se comporter comme ils le voulaient et surtout... S'habiller comme ils voulaient ! Chuuya en avait enfin finit des robes et des escarpins ! Dazai lui n'avait plus besoin de faire des courbettes à la pelle et de faires des dizaines de faux sourires à la pelle. 

Dazai buvait son verre de sake avec un sourire satisfait, cela fait des mois qu'il n'en a pas bu. Tandis que Chuuya lui buvait un verre de vin venant de France, ce vin était clairement succulent ! Il demandera au serveur si  il peut acheter la bouteille... Si elle vient directement de France, ça va lui coûter bonbon....

C'est peut-être un peu prétentieux de la part de Chuuya... Mais maintenant qu'il est riche, il peut tout se payer !

Une jeune serveuse arriva devant eux et leur servit les plats qu'ils avaient commandé. C'était une jeune femme d'à peine 17ans aux cheveux noirs attaché dans un chignon soigné. Ses yeux brun s'illuminèrent lorsqu'elle vit Dazai qui lui accordait zéro attention trop occupé à manger ses ramens bouillant qui lui brûlé les lèvres et la langues tellement ils sont chaud. 

Chuuya ressentit un frisson dans tout son dos lorsqu'il croisa le regard de la jeune femme. Elle dévorait littéralement Dazai des yeux comme si il était qu'un vulgaire morceau de viande  ! 

Chuuya commençait à vraiment pas l'aimer cette fille... Il l'a sent mal !

La jeune femme avait le rose aux joue et les yeux pétillants de joie. Et cela énervait profondément Chuuya qui avait envie de lui dire ceci:

C- Hey ! C'est MON mari ! Alors arrête de le bouffer du regard et retourne vite chez ta mère cocotte ! Et vite ! A part si tu souhaites que je te butes espèce de sale gosse !

Heureusement pour elle, un client l'appela à l'autre bout du restaurant pour avoir une carafe d'eau. Elle arrêta donc d'imaginer le brun nu sous la douche et parti voir le client avec un large sourire dessiner sur son visage encore légèrement enfantin. 

Chuuya libéré de sa haine envers cette inconnue un peu trop regardante sur son mari, le roux put enfin commencer à manger son bol de ramen  encore bouillant. 

Le roux se dit qu'il allait devoir garder un œil sur cette jeune inconnue qui ne lui inspire pas confiance... 

Il allait devoir faire comprendre à la jeune femme que Dazai Osamu appartient à Chuuya... Et à lui seul !

Moi, amant du frère de l'empereurOù les histoires vivent. Découvrez maintenant