IV

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Je me réveillais dans un lit extrêmement confortable, je regardais autour de moi je me trouvais dans une chambre (voir média) je me levais pour aller dans la cuisine parce que j'avais un petit creux. Je me rendis compte que je ne portais pas mes vêtements d'hier mais que je portais juste un t-shirt trop grand pour moi et une culotte, heureusement le t-shirt m'arrivais en-dessous des genoux. Je me dirigeais donc vers la cuisine pour manger un bout, quand je rentrais dans la cuisine tout les regards se tournèrent vers moi.

_Tu remonte tout de suite te changer, dit une voix que je ne voulais pas entendre dès le matin.

_Je fais ce que je veux, dis je.

_C'est hors de question que tu mange avec ses vêtements avec toutes ces personnes autour de toi, dit il énervé.

_Je vais faire ce que tu dis juste parce que c'est le matin et que j'ai pas envie de me prendre la tête avec une personne que je n'avait pas envie de voir dès le matin alors je le fais mais pas pour toi. Juste pour pas me prendre la tête,dis je en soufflant.

_Je m'en fous que tu le fasse pour moi ou pour toi tu le fais c'est tout, dit il.

_Gnagnagna, dis je en espèrent qu'il ne m'entende pas mais visiblement c'était raté puisque tout le monde rigola.

Je remontais donc les escaliers pour changer de vêtement puisque monsieur est jaloux. Je rentrais dans la chambre, alla dans le dressing, prit des vêtement au pif et redescendit en bas. Je me retournais vers mon "âme-sœur" et dit:

_C'est bon monsieur est content ?

_Extrêmement content, dit il avec un sourire.

Je lui fis donc un doigt ce qui lui fis ravaler tout de suite son sourire d'idiot. Il se dirigea vers moi aller pour dire un truc mais je mis ma main devant sa tête pour lui faire signe de se taire et dit:

_Tais toi j'aimerais juste prendre mon petit déjeuner sans que tu me prenne la tête avec tes "répète", alors juste tais toi. Après tu pourras me dire tout ce que tu veux mais pour l'instant ta gueule.

Il referma tout de suite la bouche et partit dehors en claquant la porte.

_C'est ça barre toi ça me feras des vacances dis je en chuchotant.

Et depuis la porte il dit:

_Je t'est entendu.

_Ta gueule et dégage, dis je énerver.

On entendit ensuite des bruits d'os brisées et un hurlement de loup au loin. je pris un bol, du lait et des céréales pour déjeuner, m'assis à une table, commença à manger quand une main ma tapa l'épaule.

_Quoi ? dis je énerver.

_Il est très en colère alors je te conseille de partir à sa recherche après manger avant qu'il ne fasse une boucherie, dis son frère.

_Oui,oui, après manger en attendant laisser moi manger mon déjeuner tranquille please ou se serait trop demander ? dis je

_Non c'est bon vas y, dit il.

_Merci, dis je.

**Ellipse du petit déjeuner**

Je me rendis donc dans la forêt sous la demande du frère de l'autre débile. Je vis au loin une magnifique cascade, je m'assis donc à côté de la cascade pour me reposer cela faisait deux heures que je marchais pour le retrouver. Étrangement je me sentais bien à côté de cette cascade, j'ai toujours aimer l'eau et le feu. Je M'assoupis sur l'arbre auquel j'étais adosser, je me réveiller au côté d'un loup qui me regardais dormir comme ci il veiller sur moi. je levais ma main pour caresser sa fourrure toute noire. Je posais ma mains dessus et fus surprise de la douceur du pelage de l'animal, quand je me mis à le caresser j'entendis le loup ronronner, je souris, j'étais bien auprès de ce loup. quand mon téléphone se mit à sonner, je décrochais, sous l'insistance de mon frère.

_Diane qu'est ce que tu fous sa fait une heure qu'on te cherche ?

_Je me suis endormie c'est bon pas la peine de t'inquiéter.

_ Je me suis ton frère Diane alors c'est normal que je m'inquiète.

_Oui,oui c'est bon j'arrive.

Je me levais et partit, le loup lui était déjà partit. J'arrivais devant la maison en même temps que mon âme-sœur, d'ailleurs je ne connaissait même pas son prénom faudrait que je lui demande.

_Diane sa fait une heure qu'on te cherche tu faisais quoi ? demanda l'alpha

_Bah je suis allée le chercher mais je le trouvais pas alors je me suis assisse auprès de la cascade, je me suis endormie, je me suis réveiller et un loup était à côté de moi et ensuite vous m'avez appeler pour me dire de revenir alors que cet imbécile était là tout ce temps.

_Je viens juste d'arriver alors l'imbécile il t'emmerde, dit-il.

_En fait tu n'es pas sourd quand je t'insulte mais quand je t'appelle tu réponds pas tu m'énerve vraiment.

_Je suis sûr que tu ne connais même pas mon prénom alors comment tu m'as appelée ? demanda-t-il

_Bah le chien pourquoi ? si ne connais pas ton prénom je vais pas l'inventer.

_Déjà je m'appelle Florent et pas le chien, comme ça la prochaine fois tu seras.

_Attends tu as bien dit une cascade ? demanda Olivia

_Oui pourquoi ?

_Non pour rien, dit-elle.

D'un coup ils arrêtent tous de parler et regarde tous dans le vide. Comme si ils parlaient par télépathie, je partit pendant qu'ils parlaient sans moi n'en mais quand même c'est de moi qu'ils parlent en plus je le sais. Je me dirigeait vers la cuisine pour me faire un sandwich, prit d'un coup de fatigue me dirigeait vers la chambre, m'allongeait sur le lit et m'endormis.

je me retrouvais devant un lac de feu, de terre et d'air. tous ces élément mélanger en un, ils se dirigèrent vers moi, m'entourèrent, me tournèrent autour et d'un coup rentrèrent dans mon corps par ma bouche. Ma mère et mon père apparurent à côté de moi, ma mère me dit:

_Diane il faut que tu leur fasse confiance, ils seront toujours là pour toi, surtout ton âme-sœur. Il n'attends qu'une chose, que tu lui fasse confiance. Il ne veut que ton amour, ce que tu ne lui donne pas.

_Fais confiance à ton frère aussi, c'était une erreur de l'éloigner de toi. maintenant qu'on est mort, il faut que tu lui fasse confiance, dit mon père.

_Comment est-ce que je peux leur faire confiance, mon propre frère m'a attaquer ?

_Il faut que tu trouves par toi-même, dit ma mère.

_Mais...

Je n'avais même pas fini ma phrase que je sentit une douleur fulgurante dans tout le corps. Je criais de douleur quand je me réveiller je vis Florent au sol en train de se tordre de douleur tout comme moi. Mon frère, l'alpha, Olivia, les bêtas de l'alpha et les bêtas de Florent. la douleur s'intensifiait, pendant que Florent se relevait, comme ci ne sentait plus la douleur. Il me regardait comme ci il était désolée pour moi et ce fut tout ce que je vis avent de tomber dans les pommes de douleur.


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Voilà un nouveau chapitre

(1149 mots)






moi et le petit alphaOù les histoires vivent. Découvrez maintenant