Chapitre 2: Premières graines

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Lorsque nous sommes arrivés dans son salon, il a demandé au serveur de rapporter La bouteille de vin qu'il avait eu à commander plutôt.

-et deux verres s'il vous plaît. Je vais accompagner La demoiselle.

-sans même me demander ce que je bois ?

-j'aime bien me fier à mon intuition, et ce dernier me dit que vous êtes une adepte du vin. Est-ce que je me trompe ?

-vous m'épatez là j'avoue.

-je m'appelle Carl et toi ?

-Odessa. Enchantée

-je l'ai été dès que je t'ai vu ma belle. Étudiante je suppose

-vous supposez bien.

-je t'en prie, tu peux me tutoyer

-et vous ? Que faites-vous Dans La vie ?

-je suis psy.

Réalisant comment il réussissait à nous lire si facilement, je répondis :

-voilà qui explique la facilité avec laquelle vous lisez les gens... Fin, tu lis les gens

-oui. Et tu veux savoir ce que je lis dans tes yeux tout de suite ?

-quoi donc ?

-qu'on va très bien s'entendre.

Je souris.

-enfin Un sourire. Tu as un très jolie sourire Odessa. Tu devrais sourire plus souvent. C'est d'ailleurs pour ça que j'ai décidé de t'approcher.

-parce que j'ai un joli sourire ?

-non, parce que ton sourire laisse entrevoir la beauté qu'il y'a à l'intérieur de toi.

J'ai baissé la tête d'un air gêné

-ah non ma belle, ne sois pas gêné. Je ne le dis pas pour te mettre mal à l'aise, au contraire.

-ok.

-j'ai l'impression que tes amis s'impatientent déjà. Puis je avoir la chance de te revoir ?

-euh... oui.

-ok bien. Alors tu ne vois pas d'inconvénient à ce que je prenne ton numéro ?

-euh... non.

Il m'a tendu son téléphone et j'y ai noté mon numéro.

-super ! Y'a-t-il une heure à laquelle tu préfères être appelée ?

-pas vraiment, mais je ne préfère pas qu'on m'appelle après 22h.

-ok . Très bien. À bientôt alors.

-à bientôt.

Je me suis levée et me suis dirigée vers mes potes qui m'attendaient D'un air très curieux. Teresa s'exclama.

-alors !!

-ekié ! C'est quoi ?

-tu as fini de te vanter, mais tu es quand même parti. Ou bien tu te vantes même souvent pourquoi ooh? Tu as fait je n'ai pas pu boire le vin là. Alors que je calculais ça Massa. Pourquoi ton cœur est même souvent noir comme ça ?

Tim et Harry ont rigolé. Puis Tim a demandé, « c'est bon La miss ? On peut partir ?»

J'ai regardé Teresa d'un air interrogateur. J'étais sûre qu'elle leur avait raconté tout ce qui s'était passé. La cafteuse.

On a réglé la note et nous sommes partis.

Monsieur FEUOù les histoires vivent. Découvrez maintenant