Chapitre 6 • ça me fatigue ce jeu •

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L'homme me donna une invitation, puis il partit rapidement.

Angelica

-Tu vois j'ai été gentille de lui demander qu'il t'en donne une. Dis-je, comme si j'avais fais un exploit.

-Tu n'as rien fais de particulier, car je lui aurai demander si tu le l'aurais pas fais.

-Pff, bye bye chéri, je dois aller là-bas. Dis-je en pointant un bar.

Je partis sans l'attendre, j'entrais dans le bar et je vois pleins d'hommes, tous très élégants, en costard.

-Bonjour, Madame vous voulez quelque chose ?

Je sentis Aldo derrière moi entrain de rire.

-Toi déjà, je t'aime pas enfoiré, appelle moi « mademoiselle », je n'ai pas 40 ans ! Dis-je en m'énervant.

-Je t'avais déjà dis que tu me plaît encore plus quand tu es énervée ? dit-il en chuchotant à mon oreille.

-Tais-toi, ça me mets déjà sur les nerfs ce bar.

-On peut rentrer alors si ça te fatigue ?

Je ne l'écoutais pas, je partis faire un tour en regardant tous les hommes autours de moi.

-Aldo, toi tu vas rester ici assis, pendant que moi j'y vais seule. Dis-je en essayant de le pousser pour qu'il reste sur la chaise.

-Accélères, tu as 2 minutes pour revenir ! Dit-il en croisant les bras.

Je partis à l'arrière du bar, pour sortir à une autre porte.

Je suis sortie, puis je suis rentrée à l'appartement, le pauvre il était seul à encore m'attendre au bar.

Il commença a m'appeler plusieurs fois, mais je ne répondais pas, je me moquais de lui pendant que lui s'inquiétait. Vraiment, il m'harcelait d'appels.

J'en ai eu marre de le laisser seul à m'appeler, donc je lui ai répondu.

Appel

-T'es où le débile ? dis-je en rigolant.

-Où est-ce que tu es, ça fait un bon moment je te cherche.

-Je suis rentrée, tu sais ? Ça fait longtemps que je suis là. Dis-je en rigolant

Il raccrocha sans même me répondre.
Je l'ai eu, je vais continuer mon plan comme ça.

Fin d'appel

J'aime tellement, quand il est énervé. J'ai hâte de voir la réaction de ce trou du cul.
Je suis sûre qu'il perdra le défi.

Quelques minutes plus tard, j'entendis la porte s'ouvrir, je suppose que je vais mourir.

-T'ES OÙ SALE MERDE !! Dit-il en criant, je pense que tout le quartier l'a entendu.

Il s'approcha de moi, sans me toucher et il me regarda droit dans les yeux sans rien dire.

-tu n'as pas le droit de me toucher, cher Aldo.

-Merde, j'avais oublié ce putain de défi.

-Peut-être parce que tu as trop l'habitude de tout le temps être avec moi.

Il se retourna en souriant, et il partit s'asseoir sur le grand canapé du salon.

-Je suis sûre que tu ne réussiras pas ce défi. Dis-je en me mettant à côté de lui.

Il avait toujours son sourire au lèvre, il est trop beau son petit sourire.

-Tu va t'habiller comment demain,
Monsieur Aldo ? Dis-je en le questionnant

Angelica Où les histoires vivent. Découvrez maintenant