Chapitre 10 • Tu m'agaces •

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-Toi, tu me cherches un peu trop c'est pour cela que je te hais. Dit Aldo, en se mettant face à lui.

-Qu'est-ce-que tu va me faire ? Rien à se que je sache. Dit Matteo en donnant un gros coup à Aldo.

Aldo fit de même, je me leva avec Enzo il était entrain de les séparer, mais mon bras avait un fil accroché jusqu'à la machine. Donc je le tirai de force pour le retirer et me diriger vers eux.

Des médecins arrivent ils retiennent Matteo mais pas Aldo.

-Oser me toucher, vous le regretterez. Dit Aldo en menaçant les médecins.

Ils partirent tous sauf Aldo. Il se dirigeait vers la porte, il la ferma à clef et tira les rideaux en éteignant les lumières. Je ne vis rien du tout, je ne sentais même pas où est-ce que Aldo se tenait.

Je sentis son souffle chaud juste derrière moi, j'avais peur mais à la fois je voulais pas mourir.

-Désolé, Aldo pour se qui vient de se passer.

-Trop tard. Dit-il en chuchotant à mon oreille.

Jusqu'à que quelqu'un toqua à la porte. Et elle ouvrit la porte avec ses propres clef et elle alluma la lumières.

-Ah, euh désolé de vous déranger mais Angelica vous devriez rester assise avec ses machines. Dit elle en me le répétant plusieurs fois.

-Ne vous avisez plus d'entrer si il y'a moi avec elle. Dit il en la regardant d'un air nerveux.

-D'accord, je m'excuse. Dit-elle en sortant rapidement.

-Bon, cher Aldo. Je vais me reposer tu peux partir. Dis-je en me couchant sur le lit.

-Écoute moi bien, princesse tu as seulement eus de la chance pour l'instant. Mais n'oublie pas qu'on vit ensemble donc je peux te voir à n'importe quel moment.

-Bah d'accord, j'en ai rien à faire de ça qui te dit que je peux pas partir de ce pays à n'importe quel moment aussi.

-Tu ne partiras pas car je le sais et puis si tu oses le faire, je te retrouverai quand même. Dit il en s'asseyant sur la chaise juste à côté de moi.

Il ne savait vraiment pas ce qu'il y aller l'attendre. Je ne voulais vraiment pas rester dans ce pays. Je préférais rester au Mexique me faire de nouveaux amis et une nouvelle vie là-bas.

Après des heures et des heures à parler, on s'endormit complètement fatigué.

• le lendemain •

Il était 9h28, j'étais réveillé en regardant sur mon téléphone et Aldo était encore en train de dormir, je me leva quelques minutes après pour y aller prendre un café.

-Attend-moi ! Dit-il en se levant. Il avait l'air tout fatigué.

-Rendors, toi débile que tu es, regarde comment t'es tu crois vraiment que tu vas venir avec moi maintenant.

-J'espère bien que ce n'est pas moi que tu traites de débile. Dit-il en me regardant avec un regard noir.

-Oui, c'est toi que je traite de débile. Dis-je en ouvrant la porte rapidement et en essayant de courir, je commençai à sentir des douleurs au dos. Mais c'était vraiment drôle, car il était entrain de me chercher en courant.

-Je t'ai attrapé ! Dit-il en mettant sa main sur ma nuque.

-C'est plus drôle la.

-Au même temps, regarde comment tu cours. Dit-il en me lâchant.

-Tu as un problème ? C'est bien toi qui m'a fais ça au dos. Dis-je en l'ignorant.

-Comment ça moi ?

Je l'ignorais complètement en me dirigeant vers la cafétéria.

-Répond moi. Dit-il d'un air sec.

-Ton ami qui fait parti de ton soit disant  « gang », c'est lui qui m'a fait ceci, et je considère ça comme si s'était toi qui me l'avais fait. Donc tous se qu'ils osent me faire c'est toi qui me le fais. Dis-je en baissant ma tête.

Il ne répondit donc pas. Il en avait donc rien à faire ? Toute façon je ne m'attendais pas à grand chose de lui. Il croit que je suis sont jouets. On verra bien qui rira le dernier.

Lui qui était rester à la cafétéria j'en profitai pour aller me changer en attendant l'autorisation à se que je sorte de cet hôpital.

-Mademoiselle, vous pouviez partir. Nous vous rappelons de ne surtout pas oublier de mettre la pommade 1 fois par jours.

-Oui oui, d'accord merci Madame au revoir ! Dis-je toute excité.

Je sortis enfin de cette hôpital j'étais tellement contente. Mais bon Aldo était toujours là bas. J'ai donc eu le temps de rentrer seule. J'arrivai devant la porte je l'ouvre, et je vis que il ne l'a pas fermer à clef. Au même temps qui rentrerai dans la maison du chef.

Je rentrais à l'intérieur j'ai directement pris une douche, et j'ai eu le culot de mettre un gros jogging de Aldo et son gros tee-shirts. Son jogging étais tellement grand que une autre personne pouvait entrer dedans.

J'étais un peu fatigué alors qu'il était seulement 10h57. J'ai donc décidé de ranger tout l'appartement malgré les douleurs. Je suis une femme forte, comme les autres.

J'ouvris l'armoire de Aldo je commençai à ranger ses vêtements, puis je vis une boîte cacher entre les vêtements. Je la sortis en la mettant sur le lit et je l'ouvris..

Et ma je vois trois armes et tous en dessous il y'avait des photos, une grande villa incroyable, la cuisine, les chambres, la grande piscine. C'était tellement beau.

-Je me demande bien à qui elle appartient cette grande et belle maison. Dis-je en murmurant et en rangeant la boîte.

-Elle appartient à toi et moi. C'était Aldo il se tenait contre la porte en me regardant.

-Mais ? J'étais pourtant sur d'avoir fermer la porte à clef. Dis-je en me levant.

-La prochaine fois vérifie bien, tu ne peux pas être en sécurité ici. Dit-il.

-Euh oui oui

-Alors, je disais que cette grande maison était à toi et moi, tu l'aime n'est-ce pas ?

-Elle est tellement incroyable. Où est-ce que tu as eu ceci ?

-Tu demande ça à moi ? Oublie pas qui je suis.

-Oui oui, tu est « le meilleur Chef de tout le pays »

-Il ne y'a pas que cette belle maison, princesse. Dit-il avec un petit sourire au lèvre.

-Je ne veux pas savoir se qu'il y'a d'autre. Dis-je en sortant de la chambre après avoir fini le rangement.

Il commença à rire en me regardant de haute en bas. Je savais que c'était à propos de ses vêtements.

-Arrête de rigoler, c'est pas marrant. Dis-je en partant au salon.

-Sa te va bien. Il était entrain de rire, quel enfant mal éduqué.

Angelica Où les histoires vivent. Découvrez maintenant