Chapître 6: Un plombier vert triste... devenu heureux?

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(Point de vue de Luigi)

Je le savais ! Elle n'est pas venue ! Et elle ne viendra jamais ! Elle serait déjà là si elle tenait vraiment à moi... ''Snif'' Non Mario, tu n'avais pas raison. Elle me détestait! Je pensais à la façon dont elle m'a poussé... Ce n'était pas du tout amical... Tout cela à cause de moi, moi qui ne s'était pas défendu. Moi qui s'était laissé faire. Moi... un plombier idiot et inutile...qui...qui aurait aimé... qui aurait aimé être aimé par une belle fille intelligente, sympathique et drôle... au nom de (T/P). Et ce jour là, il n'arrivera jamais...

Toujours dans ces pensés sombres et tristes, je contemplai le plancher de bois de ma chambre... parce qu'il ne me restait plus que ça à contempler...

Soudain, un toc-toc venant de ma porte de chambre retentit. Pas besoin de deviner qui était là, c'était forcement mon frère... Pour dire qu'elle ne viendra pas finalement... ''Snif''

Sans lever la tête, j'entendis la porte s'ouvrir. Des bruits de pas se firent entendre dans ma chambre. Ils s'arrêtèrent lorsque que je ressentis que quelqu'un s'était assis sur mon lit. Allez Mario, tu me la dis, cette nouvelle peu surprenante ?

- Luigi...

Étonnamment, cette voix ne ressemblait pas à celle de Mario. C'était une voix de... fille. La princesse Peach ?

- Luigi... répéta la voix.

Non, ce n'était pas la voix de Peach... Mais une autre.

- L-Luigi, réponds-moi...

Tout à coup, je me souvins à qui appartenait cette mystérieuse voix. N'était-ce pas celle de (T/P) ?

- Mmmm... marmonnai-je.

- ...C-c'est moi, (T/P)...

En entendant cela, mes yeux s'écarquillèrent. Mais je dus rêver. C'était impossible qu'ELLE soit là, à côté de moi... Je devais avoir des hallucinations auditives...

Mais... je ne devais pas halluciner si je ressentis, sur mon bras, une douce caresse...

- Tu sais, je déteste te voir dans cet état, Luigi...

Finalement, je levai doucement la tête et je vis... la douce (T/P) qui était assise à mes côtés sur mon lit... caressant mon bras. Alors, c'était vrai ?!

- (T-T-T/P) ?!

Elle me sourit. Un de ces beaux sourires qui me faisaient chaud au coeur.

- J-je croyais qu-que... t-tu n'allais plus revenir... dis-je en tremblant.

- Oh Luigi... me dit-elle avec douceur. Tu es mon meilleur ami et tu le seras pour toujours, tu sais ? Je suis vraiment désolée de... t'avoir poussée...

- P-p-pour v-vrai ?! Tu ne m'en ve-veux p-pas ?

- Jamais ! Et ce n'est pas de ta faute comme je l'ai dis, mais de la mienne.

Puis, je remarquai qu'elle prit quelque chose derrière elle. Ce quelque chose qu'elle me montra, était une boîte au motifs de bandes vertes et blanches horizontales. Elle me la tendit.

- Tiens, c'est pour toi !

Intrigué, j'ouvris la boîte. Il y avait, à l'intérieur, pleins de bonbons... Mais ce qu'ils avaient tous en commun, c'était qu'ils étaient tous verts ! Et les bonbons verts ont toujours été mes préférés.

- Mammamia... poussai-je.

- Des bonbons verts pour un plombier vert unique et formidable !

Contemplant les friandises, je ne m'étais pas aperçu que j'étais en train de sourire... Pour la première fois en deux jours !

- Luigi ?

Je levai la tête vers (T/P) et je lui affichai mon petit sourire. Je ne me sentis plus triste... mais ému. Ému d'apprendre que (T/P) ne m'ait pas laissé tomber...

- Luigi, tu souris ?

Je commençai à me retenir de pleurer, mais c'était impossible. Je déposai la boîte de ces merveilleux bonbons près de moi pour avoir les mains libres de prendre (T/P) et de la serrer dans mes bras. Et je pleurai. Je pleurai, mes larmes remplies d'émotions, contre son épaule. Elle essaya de me consoler en massant mon dos pendant que je sanglotai:

- D-de 1, c-ce n'était pas de t-ta faute... De 2, c'était en réalité la faute de ces imbéciles d-de Wario et Wa-Waluigi. D-de 3, tu m'as donné une boîte d-de bonbons de ma sorte préférée... Et de 4, t-tu m'as redonné le sourire... J-je ne sais pas comment te remercier...

J'arrêtai de sangloter. Sans m'en rendre compte, lorsque j'ai levé ma tête de son épaule, je la regardai dans ses magnifiques yeux (ta couleur d'yeux). Mais elle regarda dans le bleu des miens aussi. À ce moment, je brisai ce regard.

- Oupsi, je suis désolé.

Mes joues étaient probablement roses.

- Non, ça va ! fit-elle. Je crois que je faisais la même chose...

Pour changer de sujet, elle me demanda:

- À propos, Luigi, as-tu notre trophée des vainqueurs ?

Aïe-aïe-aïe... Comment lui dire que l'on se l'était fait volé par ces deux crétins ? Hummm... je devrais peut-être improviser quelque chose... Et j'espérerais qu'elle le prenne bien...


 (Qu'est-ce que Luigi va dire ? Hummm.... ;) À suivre dans le chapitre final !)

Luigi x Reader: Little sweets [FRENCH VERSION]Où les histoires vivent. Découvrez maintenant