La meute de l'Aldeauh Tome 2 ( en pause )

Chapitre 2

Salut à toi cher lecteur !
Alors, une petite mise à jour s'impose !! Voilà j'ai écris une nouvelle histoire sur le thème des vampires mais ne t'inquiète pas comme pour la meute de l'aldeauh, je modifie un peu le mythe ;)
L'histoire s'appelle donc EVA, et elle est disponible dès maintenant sur mon profil. Ce serait gentil de venir jeter un coup d'œil besoin d'avis !!
Mille merci !!
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Jonathan était un jeune homme sûr de lui.

Il ne laissait pas marcher sur les pieds, mais n'était pas pour autant hautin.

Du moins pas avec les humains.

Avec les loups-garous, c'était autre chose.

Il les détestait par dessus tout et les méprisait au plus haut point.

Ils n'étaient qu'une abomination de la nature.

Un homme digne de ce nom ne se transformait pas en animal sanguinaire.

Un rictus mesquin orna la bouche du jeune homme alors qu'il se tenait devant l'entrée de son sous-sol.

Posant la main sur la poignée de la porte, il repensa à la première fois qu'il avait croisé le chemin d'un de ces monstres.

C'était lors d'une chaude nuit d'été, il n'avait alors à peine six ans.

Son père avait débarqué dans sa chambre alors qu'il était censé dormir, et lui avait dit avoir une surprise pour lui.

Tout excité, il avait suivit cet homme qu'il considérait comme étant un model sur Terre.

A cette époque, il habitait à Atlanta, et leur maison ne se trouvait pas loin d'une petite forêt.

Son père l'y avait amené, et alors qu'il pensait faire une simple balade dans les bois, le sentier qu'ils avaient emprunté les avaient conduit à une cabane de chasseur.

Jonathan avait demandé des explications à son père, mais ce dernier était resté muet, se contentant de marcher jusqu'à la maisonnette.

Une fois arrivée devant, la première chose qui avait interpellé le petite garçon étaient les cris déchirant qui se glissaient sous le bois de la porte.

Lorsque son père avait ouvert cette dernière, les cris s'étaient transformés en hurlement plaintifs, comme s'il l'on martyrisait quelqu'un.

Le cœur de J. c'était alors serré et il avait regardé avec effroi son père.

Il n'avait vu qu'une vague silhouette car la cabane n'était pas très bien éclairée, mais lorsque la lumière illumina l'unique pièce, il avait poussé un hurlement apeuré et s'était réfugié derrière son père.

Une femme nue, étaient suspendues aux plafonds par les poignets et à ses pieds de lourds poids étaient accrochés, de façon à ce qu'elle ne se tortille pas dans tout les sens.

Mais le plus horribles, était les perfusions plantés dans ses avant bras et maintenus autour de ces derniers par du ruban adhésif.

Elles injectaient avec une cadence régulière un liquide transparent dans ses veines, semblant lui procurer une horrible douleur.

Des larmes inondaient son visage et son corps aussi maigre que possible semblait se décomposer.

Comme si le liquide transparent la tuait à petit feu, la rongeant de l'intérieur.

Des parcelles de peau se décollait, créant des trous rose vif dans sa chair. Jonathan, horrifié, avait demandé à son père pourquoi cette femme était-elle retenue ici, et pourquoi la laissait-il mourir.