Chapitre 10

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- Ce n'est pas possible dès le premier rapports non ?

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- Ce n'est pas possible dès le premier rapports non ?

- C'est rare mais bel et bien possible tu as du ressentir des symptômes bien avant,tu n'y a pas fait attention,ça se comprend au vu des événements qui se passe au château ces derniers temps.

Je mit ma main sur mon ventre est ce réellement possible ? Cette enfant va t'il avoir la vie qu'il mérite avec tout ses événements ou devrais-je prendre un moyen d'avorter ?

Je suis totalement perdue toute ma vie c'est détruite aujourd'hui,tel un morceaux de verre qui s'écrase au sol,tout mes espoirs,tout mes rêves se sont détruit sous mes yeux sans que je ne puisse rien faire.

Mary était arriver avec un verre de thé je ne saurait comment la remercier,elle ne m'a même pas juger j'ai de la chance de l'avoir.

Je sirotais mon thé sans parler en ayant le regard inquiet de Mary sur moi,je connaissait son choix elle,elle n'aurait pas garder l'enfant,elle préfère d'abord vivre sa vie profiter puis fonder une famille,la nuit c'était déjà bien installer je devrais rentrer.

- Je doit rentrer mais j'ai été heureuse que tu sois là pour moi essaye de venir me voir a la cour quand tu peux,tu me manques beaucoup et dans cette épreuve j'aurais énormément besoin de toi je n'ai plus personne.

- Je serais toujours de ton côté Daenyra rien n'empêchera ça et malgré le choix que tu va prendre je t'épaulerais.

Je la pris dans mes bras les larmes au yeux en sortant d'ici,je devrais affronter tout ses gens qui ne veulent aucunement mon bien.

Elle me pris par les épaules elle aussi les larmes au yeux.

- Promet moi de rester forte je ne me pardonnerais jamais si il t'arrivais quelque choses.

- Rien ne m'arriveras as-tu oublier que j'ai du sang de dragon en moi ?

Je souriais en disant ça,elle rigolait comme elle avais l'habitude de faire je nous revoyais enfants à courir dans le château sous les cries des femmes de chambres cette époque était si pure.

Je lui donne un dernier câlin et quitte sa maison. En marchant, j'observe la ville. Elle semble si belle de loin, mais la réalité de la pauvreté la rend moins attrayante et plus triste.

En voyant des enfants jouer devant moi, je suis frappé par leur innocence face à la vie. En regardant mon ventre, je me demande si cet enfant mérite d'être confronté à ce monde.

En arrivant au château, j'empruntais discrètement la porte arrière réservée aux femmes de chambres. En sortant furtivement, c'était par là que je passais, le chemin le plus pratique. Je regagnai rapidement ma chambre, mais au même instant, on frappa à ma porte.

𝐃𝐚𝐞𝐧𝐲𝐫𝐚 𝐭𝐡𝐞 𝐛𝐚𝐬𝐭𝐚𝐫𝐝Où les histoires vivent. Découvrez maintenant