I Dont want you Rindo X Reader (Traduction)

chapitre 13

De légers rayons de soleil éclairaient ton visage à travers la petite fente des rideaux de la chambre au gros cul de Rindou. Tu tes réveillé avec un léger mal de tête, avant de te rasseoir, en t'appuyant sur ta main dominante avant de siffler de douleur.

"Merde-" Tu étais sur le point de crier sur le lit pour la piqûre brûlante que tu as ressentie à ton poignet, jusqu'à ce que tu aies vu Rindou dormir paisiblement.

Awww il et si mignon quand il ferme sa bouche.

Pense-tu en le fixant pendant qu'il dormait, observant la façon dont sa poitrine se soulevait de haut en bas à un rythme régulier.
Sans esité, tu a essayé de suivre son même rythme.

C'était étrangement réconfortant.
Après un moment à le regarder, tu a réalisé à quel point c'était effrayant et a laissé tes yeux errer dans sa chambre.
C'est si.. ordinaire.

Eh bien par rapport à ta chambre, c'est clair. Ta chambre est tapissée d'affiches et de médailles de ton enfance.
C'était juste une chambre normale.
C'était fade

Mais ça parait cher en même temps.
C'était probablement cher, voir Rindou.
Il a toujours été étrangement riche.
Même enfant, il avait les dernières choses que la plupart d'entre vous ne pouvaient pas se permettre.

Probablement la richesse de sa famille.
Mais il semblait riche de plus en plus à mesure qu'il grandissait.
Il n'y a aucun moyen que son moi de 19 ans puisse se permettre un condo comme celui-ci.

Peut-être a-t-il un travail à temps partiel ? Eh bien, ce qu'il fait dans la vie ne te regarde pas.
En plus tu comptais rentrer chez toi aujourd'hui de toute façon.

Tu te levas doucement du lit, en faisant attention de ne pas réveiller Rindou et tu marchas vers son bureau.
Prenant derrière toi, tu as regardé vers le lit pour voir si Rindou dormait toujours.

Il marmonna quelque chose dans son sommeil avant de se retourner.
Maintenant, faisant face à la direction opposée, vous expirez profondément.

Vous avez décidé d'admirer un peu son bureau.
Il y avait là un tas de feuilles qui ressemblaient à des formulaires.
Vous en avez choisi un, pensant probablement que c'était lié à l'école puisque vous fréquentez le même collège.

Jusqu'à ce que tu vois un symbole en haut.

Ca c'était quoi?

Tu as déjà vu ce symbole auparavant, mais ta mémoire était floue. En sortant ton téléphone, tu a prise une photo du symbole et la mise en recherche d'image inversée.

Immédiatement, la page s'est remplie d'articles de presse sur quelque chose qui s'appelait Bonten.

Vous avez laissé tomber votre téléphone après avoir vu le premier article parlant de meurtre.
En vous reculant du bureau, vous vous êtes rapidement retourné pour jeter un coup d'œil à Rindou, vous demandant s'il s'était réveillé de la chute de votre téléphone.

Mais il dormait encore profondément.

Tu est allé récupérer ton téléphone et faite à nouveau défiler les articles

Meurtre.
Meurtre.
Plus de meurtre. Jésus.
La prostitution? Eh bien c'est nouveau.
Jeux d'argent.
Plus de meurtre.

Tu t'es senti mal à l'aise.
Tu t'es senti malade.

Cela devait être une blague.

Droit?

Tu remer ton téléphone dans ta poche et commencez à lire le document.

On dirait qu'une commande a été passée pour que de nouvelles armes soient expédiées à tel ou tel entrepôt vendredi dernier.

Signé par Rindou en bas.

Rindou ?
Travailler avec des armes...

Tu a jeté un coup d'œil vers Rindou alors qu'il dormait toujours paisiblement.

"Espèce de putain de malade."
Tu as marmonné en le regardant fixement. Tu ne te sentais plus en sécurité ici.

Tu pris ton téléphone et tu tes dirigé vers la porte sur la pointe des pieds.
Tu a fixé de tes vêtements que Rindou a dit qu'il allait laver pour toi hier.
Tu avais besoin de partir.
Maintenant.

En ouvrant la porte de sa chambre, tu l'as refermée doucement, en t'assurant que le bruit ne le réveille pas.
Tu étais sur le point de courir vers la porte avant de percuter quelqu'un qui se tenait juste devant toi.

« Où vas-tu si tôt ?
Ran t'a regardé.

Tu ne te sentes pas en sécurité ici.

"Euh, ma mère m'a appelé. J'ai oublié de lui dire que je dormais là-bas haha!"
Tu ri maladroitement et frotté l'arrière de ta tête avec ta main valide.

Ran haussa un sourcil en voyant ton comportement bizarre.
« Tu es pâle, est-ce que tout va bien ?
Il était sur le point d'appuyer sa paume sur ton front

"NON!"
Tu as crié avant de couvrir ta bouche.
"Je veux dire non. Je vais bien, merci de t'en soucier." Tu as dit plus doucement et tu t'es frayé un chemin jusqu'à la porte.

Ran t'a regardé sortir de l'appartement.
Elle est bizarre.
Pensa-t-il en entrant dans la chambre de Rindou.

"Sa copine l'a quitté avant même qu'il ne se réveille. C'est triste."
Il gloussa tout seul alors qu'il se dirigeait vers le bureau de Rindou.

Il remarqua que les documents étaient éparpillés sur la table.
Rindou n'est jamais du genre à laisser traîner des documents éparpillés.
Si quoi que ce soit, il était un maniaque de la propreté.

Ran a repensé à ton comportement bizarre et a proposé la possibilité que tu aies pu le découvrir ?
Il a décidé de lire les documents pour voir exactement ce que tu liser pour voir si c'était assez grave pour te faire partir.

Dès qu'il a vu le mot pistolet.
Il s'est moqué.
"Elle sait putain."
Il a ri. "Bien sûr!"

Il se dirigea vers le lit de Rindou, soulevant les draps pour que Rindou soit exposé au froid.

"Laisse-moi tranquille."
murmura Rindou encore à moitié endormi.

"Ta putain de copine sait Rindou."

"Hm? Sait quoi."
Ses paroles étaient maladroites et tombantes.

' Que tu es un putain de meurtrier. Réveille-toi putain ! "
Il a attrapé un oreiller et l'a écrasé sur sa tête.

« Meurtrier ? Je n'ai tué personne."

"Rindou. Y/n sait pour le Bonten."

Cela a semblé le réveiller.
Il a sursauté et a remarqué que vous étiez parti. Tes vêtements étaient toujours dans le coin de la pièce.

"Elle sait ? Comment ?"
Rindou se leva, se tenant juste devant le visage de Ran.
Mais la différence de hauteur lui a fait tordre un peu le cou.
Il agrippa le col de Ran, « Tu lui as dit, n'est-ce pas ?"

Ran rit et retira simplement les mains de Rindou de son col.
« Putain, pourquoi ferais-je ça ? Je me dirai quoi que ce soit, tu sais ? Ça n'a pas d'importance de toute façon. Elle sait. Elle pourrait être sur le chemin de la police d'un instant à l'autre.

"Merde."
Rindou se gratta la tête.
« Eh bien, nous ne pouvons pas la laisser partir, n'est-ce pas ? »