Loren était une fille passionnée d'art, qui ne rêvait que d'une vie humble et modeste, contrairement à sa famille, qui ne respirait que par la richesse.
Alors qu'elle venait de couper les liens avec ses proches en déménageant. Elle se retrouve mêlée...
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Il était à peu près 13h, William m'attendait dans un café chic de la ville, en compagnie d'Emy, qu'il avait forcé à venir dans le but sûre de nous réconcilier.
Je n'avais pas vraiment l'esprit pour ça, même si en temps normale traîner avec elle me cause du tracas. Je m'étais juste préparer à esquiver tout thème désagréable et rester là plus aimable possible. Parce qu'à cet instant, Peter, Charli et John étaient partie en mission.
Il pouvait la réussir comme la foirer.
Et le prix à payer serait la mort, s'ils venaient a l'échouer.
Cela m'inquiétait au plus haut point.
Je pousse la porte, la cloche accrochée à la porte résonnait, mais le brouhaha du café masquait son bruit.
Je balayais la zone des yeux, et les trouvais au fond sur une place pour quatre. Je m'avance, passant être les serveurs pressés et les clients indécis.
William souriait en me voyant arriver, Emy qui était de dos, ne se retournait même pas.
Je m'assois près de William, en adoptant une expression enjouée, même si au fond, je ne l'étais clairement pas.
- Salut. Dis-je
- Te voilà, j'ai passé la commande, je me suis dit que puisque c'est la première fois que vous veniez, je vous prendrais ce que j'aime.
- Ça me va. Répondais-je sans m'attarder sur le sujet.
- Y'as du persil dans le plat que t'as pris. Déclarait Emy de manière inattendue.
- Et alors ? Demandait William.
- Elle aime pas le persil.
Elle a raison.
Je n'aimais pas vraiment le persil
Je trouvais qu'il rajoutait un petit goût désagréable dans les plats, même si c'était léger.
Le faite qu'Emy sache cette information n'était vraiment pas inédit, mais qu'elle le rappelait en était une autre.
William levait les sourcils et s'apprêtait à s'excuser mais je le rassurais d'un geste que ce n'était pas grave.
Pendant le temps d'attente, je n'ai pas arrêté de regarder mon téléphone pour voir s'il n'y avait pas de notification.
Un message du trio
Me prévenant de l'avancer de leur mission.
Mais rien.
Ils n'avaient sans doute pas de temps pour me contacter.
Pendant ce temps
Callinsons Springfield House, Usa
Les voitures se garaient à quelques mètres de la résidence. Les hommes sortent un par un, armes à la main.