Les jours sont Éphémères et l'aube Incertaine

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« La cruauté naît toujours de la faiblesse »

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-: J'ai rien compris.

- Jalal : Mais wsh t'a de la merde dans le truc qui te sert de cerveau ou quoi ?

-: Mais je veux juste comprendre pourquoi il y'a une chambre collée à la mienne.

- Nizar : Ça te dérange ?

-: Oui, tu pouvait pas me donner une chambre normal ? Une chambre avec seulement une porte.

- Nizar : C'est bon c'est la chambre à 2A et il sera pas là pendant encore un bon bout de temps.

Je souffle et finit par me lever du canapé pour rejoindre ma chambre.

J'avais certes une très belle chambre mais je trouvais sa bizarre qu'il y ait une deuxième porte dans ma chambre qui mène vers une autre chambre.

Enfin bon j'essayais de ne pas faire attention à ce petit détail et de continuer ma vie tranquillement.

J'étais souvent dans la salle de boxe du deuxième étage, j'étais vraiment dans un état où fallait que j'évacue la haine que j'avais en moi. Alors la plupart du temps était dans cette salle, j'y restais deux ou trois heures par jours, mais sa ne me suffisait pas. Depuis maintenant quelques jours j'y reste quatre heures, j'y restais jusqu'à fatiguer et la sensation des courbatures dans mon corps était une de mes sensation favorite.

Une semaine, puis deux et c'est à la troisième semaine que mon quotidien changea.

J'ai été chargé de déposer la marchandise dans d'autre villes de France.

Il était neufs heure et comme à mon habitude depuis maintenant une semaine je reçois au même endroit et à la même heures la marchandise a livré.

9h35

-: Toujours rien, je comprends pas.

- Jalal : C'est pas normal, attend j'appelle quelqu'un et je te rappelle.

J'ai raccroché puis j'ai posé ma tête sur le volant de se camion encore vide.

Nous devons être deux pour livrer la marchandise mais aujourd'hui c'est le jour de congé de l'homme qui m'accompagne depuis le début de la semaine.

Je n'ai aucune information sur lui à vrai dire. J'ai jamais su son prénom, j'ai jamais entendu le son de sa voix et je n'ai jamais vue son visage et tous ceci sous l'orde du chef 2A.

Je me posai vraiment des questions sur lui...

Mon téléphone sonne et sans aucune hésitation je répond en pensant que c'est Jalal.

-: Alors ?

- : Tu attendais mon appel ?

Je ne reconnais pas le son de sa voix et j'espère qu'il se soit trompé.

-: Vous vous êtes trompé de numéro.

- : Ijlal, c'est ça ?

Je me redresse alors de mon siège et écoute attentivement ce qu'il à me dire.

-: Qui êtes-vous ?

- : C'est pas nécessaire, ce qui est important c'est t'as marchandise.

-: Comme tu dis, c'est ma marchandise.

- : Elle sera mienne puisque tu vas me la donner.

-: Dommage pour toi je partage pas.

- : Dommage pour toi je suis capricieux.

-: J'ai pas le temps de discuter avec toi alors tu m'excuse mais je vais raccrocher.

- : Tu coopère et tu me ramènes la marchandise.

Après son dernier mot il raccroche et tout de suite après je reçois l'adresse qu'il m'a envoyé.

Dommage aujourd'hui j'ai pas le temps de jouer.

Une dizaine de minutes plus tard je reçois un message de Jalal qui me préviens que la marchandise arrivera dans quelques minutes.

Une fois la marchandise récupérer je commence à rouler avec de camion qui contient plus de 300 000 milles kilos de drogue.

Je ne sais d'ailleurs pas pourquoi aujourd'hui le chiffre est aussi grand.

Je roulais d'une une trentaine de minutes maintenant et comme à mon habitude les contrôles de police.

Bien sûr les sachets de drogue son camoufler et assez bien emballé pour qu'aucune odeur ne puisse s'échapper.

Ses milliers de petite sachets son mis dans un pot de fleurs et son recouvert de terre puis après plusieurs fleurs et plantes y sont posé.

Comme vous pouvez le voire je suis sensé être fleuriste ou vendeur de fleurs.

Après avoir passé les barrages je suis sensé rouler une quarantaine de minutes avant d'arriver à destination.

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Ijlal