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.« J'voudrais écrire des choses belle, pleine d'espoir, mais je suis remplie de vide et de désespoir »
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- Nizar : Qu'est-ce que t'es chiante dès le matin toi.
- Alana : Jalal parle à tu amigo por favor.
Jalal demande à Nizar d'arrêter de l'embêter.
- Nizar : Mais ?! Tu c'est même pas ce qu'elle m'a fait.
Alana lui tire la langue pour le n'argüe et il s'énerve encore plus.
Un bébé celui là vraiment, des fois je remets en question son âge mental.
- Jalal : T'a quelle âge rappelle moi ?
- Nizar : Me parle même plus après ça se dit « frère ».
Jalal secoue la tête de droite à gauche puis continue ce qu'il faisait sur son téléphone. Il parlait à quelqu'un plus précisément.
- Nizar : Non mais moi je te parle sah Jalal. Plus de frère plus rien, si tu fais passer Alana devant ton pote depuis les couches, c'est plus de la trahison là c'est quelque chose qu'on ne peut pas...
Et il continue son monologue en faisant un semblant de tristesse dans la voix.
Je vais dans ma chambre puis souffle d'agacement, ça fait déjà plusieurs semaines que je suis ici et rien ne se passe, rien.
Les semaines passent et les jours fanent. Nos vies prennent un cour qui suit à la lettre les partitions de la vie. Nos journées se ressemblent éperdument et se finissent tous de la même manières.
Je commençais réellement à perdre patience je ne suis jamais resté dans un endroit exact aussi longtemps et je n'ai jamais côtoyé de personnes aussi longtemps.
Je n'étais pas habitué à tous ça.
De plus, ça fait quelques jours que je réfléchis à un plan qui me mènera vers la réussite mais je me suis beaucoup habitué au dispute de Nizar et Alana et des solutions de Jalal.
C'était ça le problème, je n'ai jamais été attaché à des personnes appart toi c'était pour cette raison que je ne côtoyé personne et c'est pour ça aussi que personne rentre dans ma vie.
J'ai peur, oui j'ai peur de faire mal intérieurement à cette personne.
Même si je tue... J'ai un cœur.J'entends la porte s'ouvre et dans l'encadrement de la porte se trouve Jalal.
- Jalal : Qu'est-ce t'a ?
-: Rien, c'est la fatigue.
Il entre puis s'assoit sur mon lit.
- Jalal : T'es cernes me font peur.
-: Tu vas commencer à abuser comme Nizar ?
- Jalal : Tu me compare pas à ce comédien j'espère ?
-: J'ai osé oui.
On c'est regarder quelques instant puis j'ai baissé la tête.
- Jalal : Pour quoi tu dort pas ?
-: Hyn ?
- Jalal : La nuit...Pou quoi tu dors pas la nuit ?
-: Je dort la nuit, comme tous être normal.
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Les jours sont Éphémères et l'aube Incertaine
Acción- Parfois, nos vies ont besoin d'être chamboulées, changées et réorganisées pour nous replacer à l'endroit où nous sommes censés être. - ص