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« Se perdre pour se retrouver »

𓆩⫯𓆪

- Terre Colombienne -

Mon regard sur cette terre qui m'est encore inconnu, une terre ou encore je n'est jamais posé un pied.

Je monte à bord du taxi qui devrait nous emmener vers notre maison.

Je ne sais pas vraiment pourquoi ils m'emmène avec eux appart le fait qu'eux aussi voulaient me sauver la vie comme j'ai sauver la leurs dernièrement, mais je trouve ça quand même assez étrange.

Bon de toute façon je suis vraiment dans l'obligation de les suivre parce que si je dit à X que j'ai eu cette opportunité et que j'ai décliné l'offre il risquerait d'être très en colère.

Enfin bon, cette histoire n'a ni queue ni tête.

Je pense pas qu'ils soupçonnent que je trafique quelque chose dans leurs dos mais moi je le sais que eux ils le font.

Si on réfléchis bien, je l'ai est aider à s'en sortir de la villa hier, en me remerciant ils me ramène avec eux et me soigne, c'est là que le doute se mets en place.

Jalal est l'un des chef de Mafia le plus redouté et le plus craint dans ce milieu là. Généralement ils sont souvent sans cœur ces personnes là, peut-être qu'il fait part de bonté et de loyauté mais mise à part se fait il y'a le moment où il me fixe et pense à quelque chose.

Ma t-il reconnue ? Non. Il ne peut pas me reconnaître car les seuls personnes qui me connaissent finissent par être tuer par ma personne.

On arrivent dans un cartier ressemblant au favélas du Brésil, les enfants jouer au ballon entres eux, les gens rigolaient entre eux en marchant...La bonne ambiance de cette magnifique saison, l'été.

J'étais derrière Nizar et Jalal, ils se dirigeaient vers une femme assise avec une petite fille. Quand elle nous voit elle sourit directement.

- ? : Holà !

- Nizar : ¿Cómo está mi chica? *Comment va ma chérie ?

- ? : Tu vas commencer ?

- Nizar : C'est bon je rigolais avec toi, relaxe.

- Jalal : Comment tu vas Alana ?

- Alana : Je vais bien. Gracias mi hermano.

- Jalal : On va te déranger pendant un moment.

- Alana : Por que ?

Elle fait descendre la petite fille qui se trouvait sur ses genoux qui part aussi tôt jouer avec les autres enfants.

- Jalal : Nous sommes en cavale.

- Alana : Tu es le bienvenu, tu le sais très bien Jalal.

- Jalal : Merci.

 Les jours sont Éphémères et l'aube IncertaineOù les histoires vivent. Découvrez maintenant