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« Les cœurs des grands rêveurs dansent avec les étoiles »

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Nous étions dans les airs, dans jet privé de M. Al-Mansûr (المنصور) Jalal, en direction de Paris.

Après l'histoire avec les espagnols qui c'était passer il y'a deux semaines, Jalal ne me parlait pas, vraiment pas.

Pas de bonjour, pas de merci...Rien. Enfin bon, j'ai pu savoir qu'il était vraiment rancunier et pas qu'un peu.

- Nizar : Ijlal ?

-: Hum ?

- Nizar : J'ai trop envie d'énerver Jalal.

-: Pour quoi ?

- Nizar : Il est trop mou c'est dernier temps. J'ai trop envie d'essayer un truc.

-: Essayer quoi ?

- Nizar : T'inquiète.

Il part puis revient deux minutes après avec le serveur du jet.

- Nizar : Tu m'avais demander son nom.

Il hoche la tête. Je savais plus où me mettre, qu'est-ce que tu me fait encore Nizar ?

- Nizar : Alors, elle s'appelle Ijlal et la suite c'est à toi de jouer.

-?: Il va jouer rien du tout.

Le serveur regarde Jalal puis s'excuse en s'en allant aussi rapidement qu'il est arrivé.

- Jalal : Je peux savoir à quoi tu joue ?

J'espérais qu'il ne parlait pas à moi parce que j'avais rien à faire la dedans.

- Nizar : Elle l'intéresse du coup je me suis dit-

- Jalal : Te dit plus rien alors, il voudra jamais.

- Nizar : Mais je lui dirait rien à-

Il c'est arrêter directement en fermant sa bouche.

- Jalal : Je fait juste la seul chose qui m'a demander de faire, je remets les choses en place c'est tout. L'autre c'est un serveur ou je sais pas, alors il fait son travail et reste à sa place.

- Nizar : Mais on s'en fou, on décale un peu la règle.

- Jalal : J'ai dit non. Tu vas voire quand je vais lui dire que tu m'incites à faire de la merde.

Nizar part en courant et Jalal rigole.

Il baisse son regards vers moi et quelques secondes après s'en vas.

-30 minutes plus tard -

Je suis parti au toilettes et en sortant des toilettes le même homme de tout à l'heure m'interpelle.

-: Oui ?

- L'homme : Je..Heu. Je m'excuse pour tout à l'heure vraiment.

Je lui sourit d'un sourire aussi sincère que ses excuses.

-: Ne t'en fait pas. C'est pas grave.

- L'homme : J'ai quand même était ravie de faire votre connaissance.

-: Tutoie moi, j'ai honte je connais même pas ton nom.

- L'homme : Antoine. Je m'appelle Antoine.

 Les jours sont Éphémères et l'aube IncertaineOù les histoires vivent. Découvrez maintenant