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« J'aime la nuit, j'ai les idées plus claires dans le noir »

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Le bruit de mes talons se fait entendre dans cette rue déserte et sombre.

Je fumais encore cigarette pour me réchauffé parce qu'il faisait un froid de canard.

J'ai fini par rentrer, je m'assoie sur le transat de d'habitude qui se situe dans notre jardin.

Je réfléchissais et je ne sais pas pour quoi mais aujourd'hui j'avais un mauvais pressentiment, je me sentais pas très bien. D'habitude ça m'arrive d'avoir se sentiment sans que rien ne ce passe, mais se sentiment là me paraît beaucoup plus fort, beaucoup plus intense.

Un coup de feu se fait entendre.

Je ne sais pas si c'est les colombiens mais si je fait le lien je sais directement que ce n'est pas eux.

Les colombiens ne sont pas présents de minuit à une heure trente. Donc qui est-ce ?

J'enlève mes talons puis en me levant mon téléphone se mit à sonner.

-: Oui ?

- Alana : Ijlal ?!

-: Oui ?

- Alana : Ouf on a eu peur quand on a entendu le coup de feu.

-: Qui m'écoute ?

Un silence s'installe puis elle me répond ;

- Alana : Tout le monde.

-: Il y'a eu un tire entre minuit et une heure et comme vous le savez aussi bien que moi les colombiens ne sont pas présent sur leurs terres à ce moment là.

- Jalal : On nous a trouvé.

- Nizar : Ijlal rentre.

-: Je suis dans le jardin t'inquiète pas.

Puis je sens sur ma tempe quelque que chose de froid.

Une arme.

L'homme me prends le téléphone de les mains.

- ? : Tu devrais t'inquiéter maintenant qu'elle est avec nous.

Puis après sa il raccroche en jetant mon téléphone par terre.

Je tourne ma tête vers lui et c'était leurs combinaisons, les espagnols.

J'espérais juste que Jalal ne donne pas l'ordre de venir à moi, enfin bon c'est pas comme s'il allait se présenter à moi et me sauver. Après tout je ne suis rien pour lui.

Je touche mon arme très discrètement et elle y est.

Une chose qu'on m'a apprise c'est le fait qu'il faut toujours avoir une arme sur sois ou que vous soyez.

Je savais qu'il n'était pas seul alors je fait aucun geste risqué qui puisse me mener vers la mort.

- ?: Cariño (ma chérie)

Il m'enlace le corps, je ne peux rien faire dans ces situations là. On m'a aussi appris que si tu est en position d'infériorité ne fait aucun geste car tu peux le regretter très amèrement quelques minutes après.

-: Enlève t'es mains de moi.

-?: C'est un ordre ?

-: Prends le comme tu veux.

 Les jours sont Éphémères et l'aube IncertaineOù les histoires vivent. Découvrez maintenant