CHAPITRE - 8

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Les corrections.

Ça parait anodin comme geste à première vue.

Un superflu d'émotion, une domination, un geste.

Denki se rappelle de sa première baffe, c'est précisément le,

8 septembre 2011

Il était rentré de l'extérieur après une journée riche en émotions, il était petit est très expressif de ses idées.

Il adorait explorer la nature, découvrir les insectes et leur donner un nom s'il l'est revoyait, c'était en quelque sorte son petit monde.

La beauté de l'environnement, le ciel quand il était bien bleu, parfois quelque nuages se faisait la course comme d'autre formé de belles images.

Du coup ce jour-là il avait un peu abusé c'est vrai, ces vêtements était neuf mais c'est pas sa faute s'il avait vu une biche quand il était dans la voiture.

À peine sortie de l'habitacle il s'est ruée en bas du jardin, sans avoir pris la peine de l'avoir dit à sa mère ni à son père.

Mais c'est pas grave, pas vrai ?

C'est une biche tout de même, elle était si belle en plus avec ses petites taches blanches sur les fesses, elle avait de tous petit bois et n'avait même pas peur de lui.

C'est pas grave.

Il avait juste à expliquer, essayer de retranscrire sa curiosité et tout se passerait bien.

En plus, la bête avait lécher son visage est partiellement ses cheveux, c'est pas super trop cool ?

Non ?

Non.

Pas pour ces parents visiblement qui la d'abord hurler dessus quand il était remonté, qu'ils ne le laissaient pas expliquer ses excuses méritées et qu'il sait tut quand il s'est fait frapper.

C'était injuste, c'était tant méchant que ça ce qu'il avait fait ? Pourtant d'autres enfants le font et il ne recevait pas une telle correction..

Les autres enfants ne voyaient pas de biche aussi..

C'est à partir de la, que les gifles partez trop vite.

Un coup parce qu'il avait soi-disant fait une bêtise, alors que c'était son cousin en réalité.

Y'a eu la fois aussi ou il n'avait rien fait, seulement fait tomber son jouet sur le sol, pas grand-chose il était incassable, mais sa mère avait cru qu'il l'avait fait exprès, pour en avoir un autre.

Jamais il n'a réclamé, pourquoi ça changerait ? Il était heureux avec ses petits jouets.

Plus les journées passait, plus les giflent était comme une sorte de bonjour, chaque fois que l'un des deux le voyait, il ce manger quelque chose.

Rapidement, les coups devenant plus pertinente qui le voulaient, ils ont commencé par vraiment frapper.

31 décembre 2014

Il se rappellera toujours de la forte odeur d'alcool de son père qui avait décidément trop abuser ce soir-là.

Ils étaient en familles, donc forcement il y avait ses cousins est cousine, rien de mieux pour profiter du nouvel an.

Tout était trop cool, trop bien, trop.

La sénerité était qu'un subterfuge, le diable résidait dans l'ombre est a attendu le moment fatidique pour frapper.

𝔹𝔸𝕂𝕌𝔻𝔼𝕂𝕌 • 𝔻É𝕊Éℚ𝕌𝕀𝕃𝕀𝔹ℝ𝔼Où les histoires vivent. Découvrez maintenant