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2 mois plus tard

" J'ai deux choses à te dire, la première t'es parents son mort et la seconde maintenant tu est entrent les mains des Alfa Demon. "

Ces paroles tourne en rond dans ma tete depuis deux mois.
Deux mois que ma vie a changer, que je ne suis plus l'étudiante en criminologie que j'était, deux mois que je vis enfermer dans ce Club sans avoir le droit de sortir plus loin que le jardin. A passer mes journées à faire leurs convers, leurs repas.
Assise dans le noir j'attends Patten pour qu'il m'ouvre la porte du petit cabanon où je dors. L'endroit ne fait même pas la taille de la salle de bain de mon appartement, un matelas crasseux me sert de lit, sans draps, sans couverture. Une petite fenêtre laisse entrer la lumière, mais celle-ci briser laisse pénétrer le froid, le vent. Je porte toujours les mêmes vêtements depuis le premier jours, j'ai le droit de les laver une fois par semaine, j'ai le droit de prendre deux douches par semaine, moi qui avait l'habitude de prendre au moins deux douches par jours, je me sent affreusement sale. Je me fait quand même une petite toilette par jours mais ça ne suffit pas.
Le froid s'est emparer de mon corps, je suis geler. Il y a des jours où je ne sort même pas d'ici. J'entends leurs rires, leurs éclat de voix, les bruits des motos. Leurs fêtes.
Patten leurs à interdit de me toucher, mais je ne suis pas folle, je sait que le jours où il leurs donnera l'autorisation, personnes ne me loupera, je vois bien leurs regards.
Un gros coup est porter sur la porte, je sursaute mais c'est Patten qui pensent me réveiller, je ne dors quasiment pas de la nuit, entrent les bruits et la peur de recevoir de la visite, mais seul Patten à la clé du cadenas de la porte.
Patten est le président du Club, si j'ai bien compris, je ne connais rien à la hiérarchie des bikers.
Je ne savais même pas ce que faisait mes parents avec eux.
Mes parents je n'ai même pas pu aller sur leurs tombe, est ce qu'au moins ils en on une ? Je n'en sert rien et je ne me risque pas à leurs demander.

- Debout ! On a la dalle !

La porte s'ouvre, toujours assise sur ce matelas crasseux, il me regarde en souriant, son regards marrons pervers, son petit sourire en coin, je sais qu'il aime ce qu'il voit, cet un homme grand, une barbe d'une certaine longueur, il ressemble comme deux goûte d'eau au cliché des bikers qu'on peut trouver un peu partout. Je ne suis pas à l'aise avec lui et ne le saurais jamais sans doute, mais il tiens ma vie entrent ses mains. Je fini par me lever avant qu'il ne s'énerve, j'ai déjà eu à faire à ses coups et mon corps en porte encore les traces.

Il pleut aujourd'hui, je marche devant lui, je sens ses yeux dans mon dos, je sais qu'il reluque mes fesses, mais je ne peux rien dire. J'entre dans la maison, aucuns regards vers moi, même leurs filles facile ne me respecte pas, je suis emmener dans la cuisine mais depuis le temps je connais le chemin.

La cuisine est asse grande, la maison aussi, le salon comporte une grande table, ainsi qu'un grand canapé et une télé toujours allumer sur les infos, la pièce d'à côté comporte un grand bar, un billard, un mûr avec photos et une pièce dont je n'est pas le droit d'y entrée.
A l'étage, ce sont des chambres. Cette maison est un vrai château. Pas toujours propre, tout les dimanches je doit faire le ménage après leurs fêtes. Les bouteilles vides, les vomis, les verres briser, c'est maintenant mon quotidien.

- Fait nous des œufs brouiller et du bacon !

- Très bien.

J'attrape tout ce qu'il faut. Je me débrouille en cuisine, j'aimais faire la cuisine avec ma mère, alors je leurs fait certaines de ses recettes.

- Magne toi ! On a des trucs à faire !

- Je ne peux pas aller plus vite, faut que ça cuise !

- Ferme ta gueule ! Me Cris-t'il.

Je souffle. Je sais que je joue avec le feu,  mais ma nature refait souvent surface. Une dizaine de minutes plus tard, leurs assiettes son pleine.
J'attends dans la cuisine, commence déjà à nettoyer les ustensiles que j'ai utilisé.
Je les entends parler, rire. Un sifflement que je connais depuis quelques semaines, c'est leurs façon de m'appeler.

- Tu peux débarrasser.

La dizaines d'homme se lève. Je passe jamais la journée seule, je suis surveiller par une de leur fille facile où même par la femme de Patten, elle non plus ne me rend pas la vie facile. Quand c'est elle qui me surveille je pourrais nettoyer la maison au coton tige que ça ne sera pas assez bien.

Je n'est rien avalée depuis hier matin, j'ai le droit à un repas par jours, leurs reste mais il ne reste quasiment jamais rien.
Depuis que je suis ici Patten ne m'a jamais dit ce qu'avait fait mes parents et pourquoi ils s'en était pris a moi. Après le nettoyage, je passe dans la buanderie, ils déposent leurs linges sale devant la porte. Je souffle déjà à voir la montagne de vêtements qui m'attend. Maintenant je ne fait plus attention à ce que je vois, ce que je lave.
Je reçois un bout de tissu en plein visage, en réalisant qu'il s'agit d'un caleçon sale, je grimace.

- T'aime ça salope.

Je ne relève pas, Tiger ne cherche que ça. J'attrape le tissu du bout des doigts et le déplace plus loin.
Je sais qu'il ne me lâchera pas comme ça, ce mec n'a jamais rien à faire.

- Tu n'as pas du travaille ?

- Non, j'aime bien te regarder, ça me fait bander, je sais qu'il fait froid dans ta cabane, si tu veux je pourrais te réchauffer, mais j'aimerais que tu prennent une douche d'abord.

- Je préfère rester sale, dis-je entrent mes dents.

Mon visage est plaquer contre la machine, son corps contre le miens, je sens bien son érections contre mes fesses.

- Je te prendrais même si t'avais tes règles, le sang et la crasse ne me fait pas peur, tu as de la chance que Patten nous interdit de te toucher, sinon ça ferait longtemps que tu serais passer sur ma bite, et je suis dur à contenter. 

- Tiger laisse là ! Crie Fallen là femme de Patten.

Je ne craque pas, il lui faut quelques minutes pour s'éloigner de moi. Quand je me redresse Fallen me regarde méchamment.

- Va préparer le déjeuner.

Je passe devant elle, avant d'attaquer le repas, je me lave les mains. Du porc et des pommes de terre, un peu de légumes mais pas beaucoup.
Leurs plats est servi, j'attends qu'ils termine en silence.

- Bon les mecs on va avoir de la compagnie ! Le club mère va venir nous rendre visite.

- Qui va venir ?

- Leurs vice président, Ezio. Je veux que tout soit clean ici, ce mec me file les jetons. D'accord, Fallen bébé trouve nous de nouvelles poules.

- Très bien bébé.

Ce n'est pas avec cette Ezio que je serais libérer d'ici...

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L'histoire est lancer ! Alors ce premier chapitre ?
J'espère qu'il vous met doucement dans le bain.

Comme vous le savez maintenant ! Pour ecrire l'histoire avec moi, rendez vous sur mon compte Instagram ; addicttolovewattpad

Bisous bisous.

Alfa DemonOù les histoires vivent. Découvrez maintenant