Alfa Demon

03

J'ai mal dormi, le carrela est horrible, je suis assise contre la machine à laver, la porte s'ouvre d'un coup sur Fallen.

- Lève toi, tu as du boulot !

Je soupir, me lève, je quitte la buanderie, je sais que la nuit a été longue pour certain, ce n'est qu'au petit matin que le silence à pris place.
La cuisine est dans le même état qu'hier soir.

- Tu fait un café, puis tu ira nettoyer dehors.

- Oui.

Fallen quitte la cuisine, le café en route, j'attrape un sac poubelle mais je m'arrête à la porte.
Le jardin est un vrai bordel, des bouteilles vides partout, j'avance en regardant autour de moi, des chaises renverser, la table où trône encore les couverts, mon dessert pas entamer, quel gâchis. J'ouvre mon sac et commence à ranger, plus loin je vois le corps d'un des bikers allonger par terre, une bière à ses côté.
Le Club est calme, à part Fallen tour le monde dors encore, le jardin ranger et nettoyer, je retourne en cuisine. Je vois que la cafetière est vide, je n'attend pas que Fallen me tombe dessus pour en refaire une.

- Il n'y a rien à manger ?

Je me retourne sur Ezio, vêtu d'un jean noir, d'un t-shirt blanc et de sa veste en cuir, ses yeux font allé retour de mes pieds à ma tête.

- Si, bien sûr, que voulez vous ?

- N'importe quoi qui se mange. Mais je dirais pas non à une omelette.

- Très bien, je vous fait ça.

J'espérai qu'il s'en aille le temps que je prépare son repas mais non, il prend place dans un coin de la cuisine, ses yeux ne me quitte pas.

- Vous avez peur que j'empoisonne votre nourriture.

- On ne sait jamais, dit-il froidement. Je ne sais pas d'où tu sort.

J'avale difficilement ma salive.

- Alors d'où sort tu ? En claire je te posais une questions.

- D'ici, lui dis-je.

- Et comment as tu atteris dans ce Club ?

- Oh euhh...

- Evie !

Je relève la tête vers Fallen.

- Il y a du linge à faire, me dit-elle froidement.

- Oui, je termine et j'y vais. Autre chose ? Demandais-je a Ezio.

- Non. C'est bon.

Je sort une assiette, la remplie et la lui tend. Il la prend, prend une boucher. Puis abandonne l'assiette à peine entamer.
Il est sérieux ? Il sort de la cuisine. Mais quel connard !
Je nettoie après lui en soupirant, je n'est pas le temps d'arriver jusqu'à la buanderie, qu'uneain m'attrape et me tire hors de la maison.

- Je t'es dit de fermer ta gueule !

- Je n'est rien dit, dis-je.

- Ferme là!

Patten me jette dans le cabanon, la porte fermer à clé, je ne vois que le noir. Je n'est rien fait, je ne vois pas ce que j'ai pu dire à se biker à la con !

" - Qu'est ce que vous me voulez ! Criai-je au biker.

- Ferme là ! Tu va vite comprendre qui nous sommes. Et quel comportement tu dois avoir, sache qu'on ne te fera pas de cadeaux !

- Mes parents...

- Mort et enterrer je ne sais où, ce n'est pas moi qui est fait le boulot ! Je suis Patten le président de ce Club.

- Qu'on fait mes parents pour mérité ça !

- Hum...

L'homme fait quelques pas, il s'arrête devant moi, il attrape mes cheveux, les tire en arrière me forçant à relever la tête.

- Si tu savais ma chérie, ils se son foutu de nous et ça c'est intolérable ! Tu va payer pour ce qu'ils on fait.

- Je suis une dette ?

- Non, notre bonne, esclave tout ce que tu veux. Mais je vais t'offrir une chance de ne pas sortir d'ici totalement détruite. Mes hommes n'auront pas le droit de te toucher, ils vont m'en vouloir de leurs priver de chair fraîche, ajoute-t-il en grimaçant.

- C'est trop gentil de votre part.

- Attention Evie, dès que je leurs donnerais la permission, tu sera une pute parmi tant d'autre, tous mes gars te passerons dessus, que tu le veuille où non, que tu saigne ou pas, que tu soit morte ou non. Certains ne son pas gêner avec ça.

J'avale ma salive de travers. Patten se redresse, quitte l'endroit où je me trouve. J'entends un verrouille s'enclencher.
J'ai froid, mes larmes coulent sur mes joues, je me frotte les bras pour me réchauffer mais mouiller comme je suis ça ne sert à rien. "

Je ne sais pas depuis combien de temps je suis enfermer, assez pour replonger dans mes souvenirs. Au moins une nuit est passer puis une nouvelle journée, ce n'est pas la première fois que je reste ici plusieurs jours.
Dans mes pensées je n'entend pas la porte s'ouvrir.

- Lève toi ! On a la dalle !

Patten m'attrape par le bras, il me lève de force, j'ai mal au jambes, j'ai du mal a suivre le rythme que donne Patten. Il me lâche dans la cuisine, je la retrouve dans un sale état, de la vaisselle sale dans l'évier, des poêles poser un peu partout...

- Bouge ton cul Evie.

Je me met alors au boulot, une fois leurs repas prêt, je me met a nettoyer la cuisine, je n'est pas vue Ezio et les autres bikers peut être qu'ils son partis.
Je termine tranquillement quand je sent une présence dans mon dos.

- Putain que j'ai envie de te baisers !

Je me fige au parole de Tiger.

- Des que Patten me donne l'autorisation je vais pas me gêner bordel. Je veux être le premier à passer.

Je ne compte même pas le nombre de fois qu'il me le dit, à chaque fois que je me retrouve seule avec lui, mon cœur accélère.

- Bordel je vais aller me branler.

Tiger quitte de lui même la cuisine, je respire enfin, la vaisselle terminer, je termine tranquillement. Quand je me retourne je tombe sur Ezio.

- Tu as besoin de quelques chose ?

Mais le biker ne me répond pas, il s'avance vers moi sans rien dire, je recule mais me retrouve vite coller contre le plan de travaille, il est bien trop prêt de moi, sa main se pose sur ma joue puis il la laisse tomber le long de mon corps. Son regards sombre toujours dans le miens, il tend sa main mais je réagi plus vite, ma main vient hurter violemment sa joue...

Ezio tourne sa tête, son regards toujours aussi noir.

Qu'ai-je fait ?

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Nouveau chapitre ! Qu'en pensez vous ? Comment va réagir Ezio à cette gifle ça sera à vous de décidez !

Comme vous le savez maintenant ! Pour ecrire l'histoire avec moi, rendez vous sur mon compte Instagram ; addicttolovewattpad

Bisous bisous