Alfa Demon

17

Je n'ai jamais été autant serrer dans les bras que maintenant, j'en suis même gêner. Mes tantes, ma mère on fait à manger. Tout ce qui est sur la table a l'air délicieux. Nous passons vite à table, personnes ne me demande où j'étais passée, et ses temps mieux. La nuit est bien avancer quand la maison se vide, je commence à débarrasser.

- Ma chérie laisse nous faire tu doit être épuiser.

Je lui sourit et monte dans ma chambre,  après quelques minutes je redescend. J'entend mes parents discuter.

- Qu'est ce qu'on va faire ? Comment est t-elle revenue ?

- Je ne sais pas, je vais les contacter, il faut qu'on sache ce qui c'est passer.

Je ne comprend pas de quoi il parle, la fatigue doit être forte. J'oublie ce que j'était venue faire, remonte dans ma chambre, m'allonge dans mon lit, les yeux river sur le plafond. Un bruit de moto me fait me redresser, je quitte mon lit, m'avance jusqu'à la fenêtre, la moto est stationner quelques mètres plus loin, son casque retirer. Ezio fixe ma maison.
Je n'entend plus un bruit dans la maison, j'enfile un sweat, sort de ma chambre, descend enfile une paire de basket, je sort en toute discrétion et fini par me diriger vers lui. Je marche vite, Ezio descend de sa moto quand il me vois arriver. Je m'arrête à quelques centimètres de lui, nous nous fixons quelques instants avant que je ne saute dans ses bras. Ses mains sous mes fesses, mes bras autour de son cou. Nos bouches se retrouvent, nos langues se rencontrent. Ezio me tiens fermement contre lui.
Mes pieds touche de nouveau le sol après de longue minutes.

- J'ai besoin de toi Evie, putain vraiment besoin de toi.

- Tu m'as manquer Ezio... je me sent mal ici.

- Tu devrait être heureuse d'avoir retrouver tes parents, non ?

- Il me cache quelques choses... enfin j'en ai l'impression.

- C'est le retour à la réalité qui te fait dire ça.

- Peut être oui... enfin quand repars tu pour le Club ?

- Pas tout de suite... Tu me manque Evie.

- J'aimerais qu'on se retrouve Ezio... mais les flics me posent tellement de questions.

- Ça va aller, ils vont vite changer d'affaires

Il fouille dans sa poche et en sort un papier qu'il me donne.

- Rejoint moi la bas demain soir à minuit, je te changerais les idées.

Je lis l'adresse sur le papier.

- C'est un club réputer... lui dis-je.

- Ne me dit pas non bébé.

Ezio me soulève et me dépose sur sa moto, mes cuisses écarter, Ezio passe une main entrent elles, caresse ma peau nu avant de s'aventurer sous le tissu. Il trouve très vite l'endroit qu'il veut. Je ferme les yeux en sentant ses doigts.

- Tu est tremper....

- Tu m'as manquer Ezio.

- Demain soir...

- Demain soir, dis-je en l'embrasser.

Un doigt s'immisce en moi, je retient le gémissement en lui mordant la lèvre inférieure. Ezio grogne.

- Je pourrait te prendre ici et maintenant, réveiller tout le quartier avec tes cris. Putain oui ! J'en serais capable.

Ezio s'éloigne.

- Demain soir...

Je lui fait signe que oui. Un nouveau baiser échanger je regagne ma maison. J'entends la moto s'éloigner, mes doigts glisse sous mon short, ressentant encore les carresses de Ezio. Demain soir, je compte bien me lâcher.
Le lendemain quand je descend dans la cuisine, mon père raccroche son téléphone.