Alfa Demon

Épilogue

Debout, devant notre lit, je ne sais pas quoi porter pour notre soirée aux Club, j'ai tellement hâte...
Plusieurs jupes son poser sur le matelas, ainsi que quelques soutiens-gorge, et hauts. La porte s'ouvre, Ezio s'arrête dans l'entrée, referme la porte derrière lui.

- Si tu reste comme ça, ça me va, dit-il en souriant.

Je suis simplement vêtu d'une serviette.

- Choisi pour moi, lui dis-je en souriant.

Ezio s'approche de lit, regarde les tenues que j'ai poser, il attrape une jupe en cuir, et un soutien-gorge assortis. Je le regarde ensuite se diriger vers son armoire, sortir une boîte.

- Celle-ci je ne l'ai jamais vue.

- Tu va l'adorer bébé.

Ezio la rapporte, la dépose sur le lit et l'ouvre. Je découvre des chaînes, des porte jarretelle en dentelle.

- Quand as tu eu le temps d'aller acheter tout ça ?

- Il y a quelques jours, alors tu veux bien en porter un ?

Je plonge ma main dans la boîte, attrape le morceau de dentelle, ainsi qu'une chaîne.

- Tout ce que tu veux.

Ezio s'installe dans son fauteuil, je laisse tomber ma serviette, attrape le tanga en dentelle et le met, j'attrape ensuite le soutien-gorge qu'il a choisi, ses yeux ne me quitte pas, j'enfile les porte jarretelle, puis accroche une fine chaîne à ma cuisse.

Je m'approche de Ezio, ses mains glisse sur mes cuisses.

- J'ai hâte de te baiser devant tout le monde.

Je sourit.

- Je vais enfiler un pantalon.

Je le quitte, une heure plus tard nous sommes au Club, passons par l'entrée arrière, privilège d'être un Alfa Demon. Dans le petit vestiaires je retire ma veste ainsi que mon pantalon.

- On se retrouve plus tard ? Dis-je a mon petit ami.

Ezio mattrape par le bras, me colle contre le mur.

- N'oublie pas que tu est une Alfa Demon, ma régulière, ma femme.

- C'est gravé en moi, dis-je en quittant la pièce.

Je pénètre dans le Club, celui ci est remplis, mon masque en dentelle sur le visage, j'avance entrent les clients, la chaîne sur ma cuisse me chatouille, je sent quelques mains me frôler, des regards se tourne vers moi. Les hommes son beau, les femmes magnifiques, à peine quelques mois en arrière, je n'aurais jamais penser venir dans un endroit comme ça.
Après avoir récupéré un cocktail à la cerise, je continu de visiter les lieux, je m'arrête devant un couple en train de faire des préliminaire, eux ne le font pas derrière une vitre, un nouveau venue s'invite avec eux, la femme l'accueil en l'embrassant. Ezio ne l'accepterais jamais puis moi non plus, je ne veux que lui. Je me redresse en sentant une présence dans mon dos.

- Ce que tu vois te plaît ? Me soufle-t-il à l'oreille.

- C'est plutôt pas mal, soufflais-je en souriant.

Ezio pose sa main sur mon ventre, puis la fait glisser entrent mes cuisses, je suis humide, je le sais.

- Notre chambre est prête, dit-il en s'en allant.

Parfait. Mes yeux ne quitte pas se trouple qui est en train de former, les deux hommes son complément nu, un lui retire son soutien-gorge l'autre lui retire son string, je quitte cette petite séance et reprend ma marche jusqu'à la chambre, Ezio apparaît à travers la fenêtre, attacher par les mains à une corde pendu du plafond, les yeux bander, cette vision m'excite vraiment. Je m'approche de la porte, le videur me laisse entrer, j'avance dans le couloir, le cœur prêt à exploser dans ma poitrine.
Je referme la porte derrière moi, Ezio se redresse.
Je m'approche, attrape une des cravache et avance en silence vers l'homme que j'aime. Le fouet claque sur son torse, Ezio gémis. Il claque de nouveau sur ses fesses.

- Bébé.

- Tais toi.

Mon petit ami sourit. Je vois la bosse se former à travers son boxer.

- As tu envie de moi ?

- Oui.

- As tu envie de me faire jouir ?

- Oh oui bébé.

- Ah tu envie que je te fasse jouir.

- Je veux que tu me fasse mal...

Le fouet claque sur sa cuisse. Je part le reposer et attrape deux petite pinces lier par une chaînette. Je lèche ses tétons avant de les pincées avec les pinces, Ezio gémis. Je pose ma main sur son sexe, le caresse.

- Tu est dur bébé...

Sans attendre, je tire sur les chaînes lui arrachant les pinces accrocher à ses tétons.

- Ah bébé !

Je sourit. Dépose mes lèvres sur ses tétons.
Je fini par lui relever le masque. Ses yeux son remplis d'excitation. Je le retourne et colle mes fesses contre son sexe, je me frotte. Quand mes yeux se pose sur la vitre, je vois tout ses regards sur nous, cette fois-ci nous sommes juste séparé par une vitre, ils nous voient et nous les voyons.
Je fini par détacher Ezio, j'attrape la chaîne qui pend à son cou et le tire jusqu'au mur, bras et pied attacher, je me redresse devant lui, je faut glisser les portes jarretelle ainsi que mon soutien-gorge. Je suis simplement vêtu de mon tanga, que je laisse tomber. Je le jette plus loin.

J'attrape une plume et la fait glisser sur son corps, je la laisse vite tomber, ça ne me convient pas, je fait glisser mes doigts sur mon corps, Ezio suit mes mouvement. Je dépose mes lèvres sur les siennes.

- J'ai envie de toi bébé.

Il ne m'en faut pas plus, je détache mon biker, il me soulève, me pose sur une commode qui se trouve dans un coin de la pièce. Retire son boxer.
Il me pénètre sans attendre, temps pis pour les préliminaire, il se rattrapera la prochaine fois. J'entoure mes bras autour de son cou, ses mains bien aggriper à mes hanches, ses vas et vient son rapide. Ezio se retire.

- Tu aime qu'on te regarde ? Me demande-t-il.

- Oui... oui. Vient ...

Ezio me soulève, il me dépose devant la vitre, se met derrière moi, me relève les fesses et s'enfonce en douceur. Mais il reprend vite la cadence, nous sommes à bout de souffle, mais je ne suis pas prête à venir, j'en veux encore... je redresse ma tête, mes yeux se plante dans le regards d'un homme au cheveux quasiment blanc, un petit sourire aux lèvres, je baisse mes yeux sur sa main qui disparaît dans son jean.

Ezio dans mon dos, Cole devant moi, mon petit ami accélère ses coups de reins, mon ventre se resserre, mes jambes se mettent à trembler, mes mains se ferme, Ezio serre ma taille plus fort.
Mon orgasme explose, Ezio me serre fort contre lui,
Nos orgasmes était aussi incroyable pour l'un que pour l'autre, mon petit ami se retire, il me soulève, j'enroule mes jambes autour de lui.

- Je t'aime ma petite criminelle.

- Je t'aime Ezio, je t'aime tellement...

Les lumières se tamise, avant de quitter la chambre je me retourne une dernière fois vers le miroir mais Cole n'est plus là...
Nous avons à peine passer la porte, que Ezio me plaque contre un des murs, nos lèvres se rencontrent.

- Épouse moi Evie, devient ma femme.

Je le regarde en souriant, pour simple réponse je l'embrasse de plus belle. Oui, je serais ta femme Ezio.

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Et voilà la fin de notre histoire !
J'espère que vous l'avez appréciez, que vous avez aimez participer à ce projet.
Merci d'avoir voter, commenter, choisi. De m'avoir suivi sur Instagram !
On se retrouve très vite !
Bisous bisous