Chapitre 14 : je suis la Tempête... je suis la Fin...je suis le jugement...

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L'aîné : mais voyons...

L'aîné : je suis la tempête.

La phrase avait sonné comme un puissant écho qui résonnait jusqu'aux ciel. Les dieux étaient choqué par l'attitude très effronté de l'homme.

Abrahel : tch ! Tu es stupide !
Tu regretteras ! Je -

Et puis, elle s'arrêta de parlé.
Devant elle, L'aîné avait mit son doigt devant ses lèvres, enfin là où devait se trouver ses lèvres.
L'index qui invitait au silence.

Comme conformément à son ordre, la déesse s'est tut involontairement et sans pouvoir s'y opposer.
Et puis, l'aîné retire son index pour parler.

L'aîné : tu entends ?

Demande t-il avec le plus grand amusement dans sa voix.
Il n'avait aucune moquerie, ni duperie.
Seulement la voix d'une personne très amusé qui veulent vous faire remarquer quelques chose.

L'aîné : as-tu entendue ? Entends-tu ce silence ?

Abrahel allait se moquer de lui.
Le traité d'imbéciles et d'idiot.
Mais, elle sent... Au fin fond de son cœur, qu'il y a quelques chose qui ne vas pas.
Entre la phrase qui bien qu'il soit remplis d'un certain amusement, avait une part
Plus sérieux. Cette petite part de seriosité avait réussi à faire douté Abrahel.

L'aîné : écoute attentivement.
Peux-tu écouté le vent chanté ?
Entendre le murmure des flammes brûlés ?
percevoir les hurlements de l'orage ?
Et comprendre les paroles de la terre ?

L'aîné : dis moi, entends-tu tous ça ?

Abrahel voulaient réfuté, Elle voulait contesté ce qu'elle appelle les absurdités de la personne en face d'elle.
Mais dans sa tête, elle se mit a douté.
Elle a été témoin de sa puissance, quand il a éliminé Fenrir d'un coup d'épée.

Elle se mit a douté et elle devait vérifier par elle-même. Elle devait être sûr de pouvoir réfuté, même si cela semblait stupide d'argumenter sur ça.

Alors, elle tend une oreille discrète.
Elle tente d'écouter le vent chanté, il y avait déjà cessé depuis ...
Elle ne sait plus quand le vent avait cessé de souffler a vrai dire, la dernière fois c'était... Récemment mais quand ...

Abrahel : ( il se moque de nous... C'est sur )

Rien qu'avec ça, elle pouvait contesté, mais elle préfère continuer.
Elle devait être sûr de pouvoir détruire... Non... Anéantir ses mots.

Elle écoute le feu, les flammes se sont légèrement calmé. Les flammes étaient moins bruyant et beaucoup plus silencieux.
Ca aurait pu être un manque d'énergie, un manque de comburant qui permet de duré encore un peu.
La dernière fois qu'elle entendit le feu brûle, c'était il y a quelques minutes.

Sa partie rationnel lui dit que ce n'est qu'un manque d'énergie qui lui permet de continuer, mais d'un autre côté, sa partie superstitieuse lui dit que cet adoucissement des flammes est étrange et pas naturel. Cependant sa partie rationnel remporte sur sa crédulité.

Abrahel : ( un manque d'énergie... Certainement )

Ca lui faisait déjà deux.
Maintenant, elle écoute la terre.
La terre peut faire des écho silencieux que certains personnes peuvent entendre ou ressentir.

Elle n'a jamais ressentir Les échos ou les vibrations de la terre. A vrai dire... Elle ne sais même pas si elle est vivante.

Abrahel : ( pourquoi je fais ces actions stupides, il s'est déjà assez foutu de ma gueule )

Genshin impact : La fatalité du destin Où les histoires vivent. Découvrez maintenant