-Jalousie pesante-

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On étais Samedi et j'attendais que mon copain rentre depuis déjà un jour. En effet, se dernier faisais sûrement une réunion avec la brigade fantôme et bien sûr je me devais d'attendre bien sagement que monsieur rentre. Un jour que j'étais sans nouvelle!
        Et puis quoi encore, on est plus au XVIIIe siècle! Avec lui c'est toujours comme ça, monsieur part faire je ne sais quoi pendant que je doit rester bien sagement à la maison à l'attendre patiemment. A la longue c'est fatiguant. En plus je ne suis pas spécialement faible et je m'entends bien avec la brigade.
Je regardai la télé depuis déjà une heure et cela m'ennuyais au plus haut point. Dans un élan de motivation je pris mon téléphone et appelai mon meilleur ami dans l'espoir de me divertir. Lui au moins m'accordera du temps.
Après quelques instants se dernier répondis:

« -Allo Irumi?
-Oui?
-Tu es disponible là maintenant pour sortir?Ça pourrais être sympa tu ne pense pas?
-Salut T/p, pour l'instant j'ai rien de prévu. On se vois au café comme d'habitude.
-Pas de problème! »

Je raccrochai et parti rejoindre mon ami au café. Cela faisais un moment que l'on ne c'était pas vu, cela faisait trop longtemps à mon goût en tout cas. Et puis j'aime passer du temps avec mes proches, même si certains son « trop occupé ».
En temps que personne parfaite, Irumi se trouvait déjà sur place a m'attendre.

-Salut Iru, comment ça va?
-Je vais bien merci. Il me fixa puis repris. Je suppose que Kuroro est occupé sinon il ne t'aurais pas laissée sortir seule.
-Effectivement, mais il n'as pas à décider se que je dois faire. Même là je serai sortie te voir.
-Je vois, juste il rentre vers quelle heure histoire qu'il n'essaye pas de me tuer une nouvelle fois. Je n'est pas de temps à perdre.
-Aucune idée, il ne me préviens jamais. Monsieur est trop occupé, en plus il se permet de choisir avec qui je peut rester. Non mais il n'a cas faire plus attention à moi si il ne veut pas que je parte. Et puis tu es mon meilleur ami il a pas à nous empêcher de nous voir.
-Tu es toujours aussi têtu, tu pourrais même en être touchante.

          Je le regardai blazer puis partie en fou rire. On passa la journée ensemble se qui fut très agréable. Malheureusement, il dû partir car il devait allé espionner son petit frère chéri.
         Je rentra donc chez moi sachant qu'une dispute éclaterais une fois rentrer. J'eu raison car dès la porte franchit je vit Kuroro installé sur le canapé me fixant d'un regard rempli de reproches.

-Puis-je savoir où madame était passée?
-Dehors.

On se parlais froidement, marque que nous étions tout deux irrité. Ses yeux ne me lâchaient pas tandis que j'enlevais mon manteau et mes chaussures pour aller m'asseoir sur un fauteuil, non loins du canapé dans lequel mon copain étais assis.

-Et avec qui étais tu? Si se n'est trop demander.
-Un ami.
-Un? Me répondis t'il comme si j'avais commis un crime.
-Oui, Un ami, pourquoi? Cela dérangerait il monsieur que j'ai une vie?
-Oui justement cela me dérange, tout être masculin est un danger, l'amitié homme femme n'existe pas.
-Je vois, tu me fais donc si peut confiance. S'en est décevant.
-Se n'est pas une question de confiance envers toi mais plutôt envers les autres. Qui était ce?
-Mais oui, bien sur. C'était Irumi, tu sais mon meilleur ami, le gars que je connais depuis plus longtemps que toi et qui ne vit que pour sa famille. Celui qui ne s'attache à personne.

Un long blanc s'installa tendit que Kuroro me fixait comme si il planifiais le meurtre de mon ami. Je ne pouvais plus le supporter, s'en était trop. Je partie donc me laver pour lui échapper et en profiter pour me calmer. Ce dernier voulu m'arrêter mais je lui fit comprendre assez subtilement de me laisser tranquille.
Je monta à l'étage prendre mes vêtements pour ensuite aller à la salle de bien. Une fois dans le bain je ne put m'empêcher de broyer du noir. J'en avais plus que marre d'être à ses yeux un objet qu'il peut abandonner et demander de rester constamment là pour lui. Je comptais bien lui faire comprendre que cette fois était de trop!
Après une bonne heure je sortie du bain, me démêla et sécha les cheveux puis me rhabilla et descendit manger. Je ne pris même pas la peine de regarder mon petit ami et sortie un plat de pâtes que j'avais préparé à l'avance se matin.

-Tu compte vraiment m'ignorer? Me dit il énervé.

Je le fixa avec dédain pour lui faire comprendre qu'effectivement je comptais bien l'ignorer et détourna le regard pour continuer de manger mon repas. Je sentais toujours ses yeux sur moi, je savais qu'il s'attendait à se que je craque que je retourne dans ses bras pour m'excuser comme le faisais les autres femmes avant moi. Malheureusement pour lui j'avais un grand ego et je tenais énormément à ma liberté. J'avais pris sur moi depuis un moment mais je ne pourrais plus continuer.
Il sembla abandonné de lui même car il mit ses chaussures et sorti, sûrement se vider l'esprit. Kuroro détestait ne pas tout contrôler, c'est pourquoi la situation l'énervait tant.
           'Quelque temps plus tard j'entendit de nouveau la portes s'ouvrir. Je resta concentré sur mon activité qui consistais à lire un livre et ne prêta pas attention à lui. Livre que j'avais déjà dû lire a cause du temps que j'avais à occupé seule durant toute ses journée.

-Désolé princesse...

        Ses mots chuchotés dans le but d'être à peine audible que j'avais entendu à ma plus grande surprise. Ses mots que je n'avais jamais entendu jusqu'à présent. Le chef de la brigade fantôme venais de s'excuser. Le numéro 0 des araignées savais s'excuser. J'avais du mal entendre, venait il vraiment de dire se mot? De lui cela semblait impossible, pourtant il m'avait réellement présenté c'est excuse. Je devais paraître vraiment étonnée car se dernier repris la parole.

-C'est si étonnant que je m'excuse?
-Eumm, oui, un peut quand même. Tu as, comment dire, un sacré ego?
-Je sais que je suis très possessif et que ça doit être pesant à la longue. En plus je ne suis pas souvent là.

         Je l'observais amoureusement, il m'avouait ses tord. Enfin, enfin il me considérais vraiment. Je lui souris et il me répondit. Je lui ouvris mes bras l'invitant à me faire un câlin. Il s'approcha, heureux, puis me pris sur ses genoux pour réfugié ses lèvres sur les miennes.

N'hésitez pas à me proposer des personnages pour de prochains one shot. En espérant que se dernier vous auras plus.

-One shot-Où les histoires vivent. Découvrez maintenant