Chapitre 9

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PDV Léo

J'étais trop content d'être le bêta de Kylian et de savoir que Jena était un loup-garou. Notre amour était-il possible, maintenant?
Je me le demandais mais si elle ne m'aimait pas. Ce serait beaucoup plus compliqué. Mais, il ne fallait pas que j'y pense.

Je retournai dans ma chambre, mon colloque m'attendait. Il faisait aussi parti de la meute. Il s' appellait Florian. Il me fit:

- Je suis trop content pour toi, être le bêta de l'Alpha. Non mais tu t' imagines?
- Oui, je l'imagine mais Adrien alors?
(Adrien était l'ancien bêta de Kylian.)
- Tu ne le sais pas, il a rejoint la bande de Jordan.
- Ah, non je ne le savais pas.
- Eh bien maintenant tu le sais.
- Merci de me l'avoir dit.
- De rien. Est-ce qu'on peut devenir... ami? Dit-il en hésitant.
- Euh, oui. Bien sûr.

Il fallait le comprendre. Il était nouveau tout comme moi mais il n'avait pas beaucoup d'amis. Quand je le voyait, il était toujours tous seul. À la fin, j'avais éprouvé de la peine pour lui. Et puis, il était très sympa.

Je me mis en pyjama et me couchai. Et je partis dans les bras de Morphée.

PDV Jena

Je sentis une douce chaleur qui me caressait la joue. J'ouvris tout doucement mes yeux, m'éttirai et me leva.

Je partis me laver.  Je sortis de la salle de bain avec un essuie autour des cheveux et de mon corps. Je partis m'habillée sans faire de bruit pour ne pas réveiller Julie.

Je sortis de la chambre, parcourus le couloir et descendis dans la cour. C'était bizarre. Tout était trop calme. Je sortis mon GSM et regardai l' heure. Je vis:~10h26, le 6 septembre.~
C'est pas possible qu'on soit samedi! La semaine était passé très vite. Je m'étais très bien intégré et mettais déjà battu une fois. Tant de choses en une semaine, je n'y croyais pas.

Je me demandais comment mes parents allaient. Je n'avais plus de nouvelles d'eux depuis la rentrée. Je me décidais. Je vais leur téléphoner.

- Allô? Dit ma mère.
- Salut maman.
- Oh, Jena. C'est toi?
- Oui maman.
- Ma chérie. Ça va?
- Oui et toi?
- Tout va bien ici. Tu te plaît bien là-bas?
- Oui, c'est génial!
- Tu nous manques, tu sais?
- Ah moi aussi vous me manquez.

Je laissai une larme coulée sur ma joue. C'était la première fois que je laissais mes larmes coulée. Je faisais la dûre mais je ne l'étais pas du tout.

- Oh, ma chérie.  Ne pleurs pas.
- Mais maman, vous me manquez tellement.
- Je sais ma chérie. Gros Bisous, je dois y aller.

Je raccrochai. J'entendis quelqu'un approcher. Je sais que c'était lui. Ne me demandais pas comment je le savais mais c'était comme ça. Je le sentis me prendre dans les bras. Je m'appuyai contre son torse et le sera. Je me sentais tellement bien dans ses bras. Sa chaleur était si agréable. Je me laissai aller et pleurai à chaude larmes.

Un Amour ImpossibleOù les histoires vivent. Découvrez maintenant