Chapitre 18 : Soirée

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POV : VITO

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POV : VITO

Lorsque j'ai poussé la porte, Ilaria est couché sur le ventre au-dessus la table de massage. Une grande serviette est posée sur son corps, et couvre le bas du dos puis descend jusqu'à ses orteils. J'ai tout de suite stoppé Gabriel pour qu'il ne rentre pas. Ensuite mon regard s'est dirigé vers la masseuse, avec un simple signe de tête, elle a d'emblée compris puis lâcha les pierres et l'huile sur la table avant d'afficher un sourire nerveux... Une fois tous les deux, je me suis dirigé vers la porte et je l'ai verrouillé. Ce simple mouvement a fait qu'elle se redresse d'un coup. J'ai posé mes yeux sur son corps et puis j'ai remonté jusqu'à sa poitrine. Elle s'est servie de la grande serviette pour cacher son corps... Petit à petit, j'ai commencé à m'approcher, il m'a fallu plusieurs pas pour être à quelques centimètres... Je pouvais sentir un mélange d'huiles essentielles qui flâne dans la chambre. Je dirai de l'huile de lavande et peut-être aussi un peu de marjolaine. J'ai fixé ses yeux bruns, qui ont commencé à disparaître et furent remplacés par ses pupilles, qui s'agrandissent de plus en plus. Nous sommes restés dans cette position pendant un instant...

Un courant d'air surgit et détruit notre duel. Mon regard s'est tourné vers une fenêtre qui était grande ouverte. Mes sourcils et yeux se sont crispés. Elle a suivi le même mouvement...

— Pourquoi la fenêtre est ouverte ?

— C'est à cause de l'odeur, c'était trop et je ne pouvais pas le supporter c'est pour ça que je lui ai demandé d'ouvrir la fenêtre.

Quel mensonge...
trop de détails inutiles....

Je n'ai laissé rien paraître. Il y avait une douille quelque part et j'allais le découvrir... Grâce à mon travail et à l'environnement dans lequel je vis, j'ai appris à lire à travers les gens. Je savais quand les gens mentaient... Le non verbal et le langage corporel, n'avait pas de problème pour moi.

— Peux-tu partir ?...

J'ai posé mes yeux sur elle et je n'ai rien dit... ! Elle a redit la même phrase mais cette fois-ci avec une intonation différente. — PEUX-TU, partir ?

VITO COLUCCI - TOME 1 - RÉÉCRITURE ET CORRECTION EN COURS  Où les histoires vivent. Découvrez maintenant