Hoseok #SaintValentin Edition

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"Vous devez être contents ?" tu leur avais dit en les dardant de ton regard le plus menaçant

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"Vous devez être contents ?" tu leur avais dit en les dardant de ton regard le plus menaçant. Les journalistes s'étaient regardés entre eux, à se demander à qui cette question était adressée. Une journaliste plus courageuse que ses homologues avait pris la parole et avait répondu : 

"Qu'est-ce que vous voulez dire par là ?" elle avait tendu son micro pour être sûre de capter tout ce que tu pourrais dire. Tu étais une des figures les plus importantes de Corée, tout le monde voulait savoir ce que tu avais à dire. Les yeux de ton agent lançait lui aussi des éclairs dans ta direction. Tu ne pouvais pas tout le temps dire ce que tu voulais mais tu en avais gros sur le cœur. 

"Vous vouliez tous la voir partir de ma vie, et maintenant que c'est fait, vous me reprochez d'être désagréable ? Vous me reprochez d'avoir changé, alors que c'est de votre faute si tout est arrivé ? Je ne sais même pas comment je peux être encore devant vous et avoir la force de ne pas vous insulter" tu t'étais forcé pour leur lancer un sourire, qui tout le monde le comprenait était ironique. Tu avais toujours eu deux raisons de vivre. 

Ta famille. 

Ta deuxième famille. 

Une troisième s'était rajouter en cours de route. 

Elle.

Tu avais perdue la moitié de ces raisons de vivre en trois mois. Ton groupe n'était plus le même depuis que vous aviez prévu de vous consacrer à vos activités personnelles. Et elle avait disparue de ta vie pour te protéger. Tu avais commencé à la détester, et pourtant une part de toi ne pouvait pas se lasser de l'aimer. C'était plus fort que toi, comme si vous étiez inscrit dans une loi de gravité. 

"Qu'est-ce que vous pensez du fait qu'elle est déjà refait sa vie en Europe ? Qu'est-ce que ça vous fait d'être aussi vite remplacée ?" la question t'avait fait défaillir une seconde. Une seconde car personne ne devait voir à quel point cette éventualité aurait pu t'affaiblir. Même pas toi-même. Ils pensent savoir qui c'est ? Ils ne se rendent même pas compte qu'elle est encore à Séoul... Ils ne connaissent même pas son visage. 

"C'est une vraie question sérieusement?" et quand tu avais vu que personne ne répondait, tu avais poursuivi en disant "A vous de me dire, vous allez l'air de me connaître mieux que moi-même..." 

Des murmures s'étaient échappés de la salle. Apparemment plus personne n'osait te poser de question. Tu étais celui qui faisait le plus peur à tout le monde. Tu n'avais plus rien à perdre. Tes deux familles te soutiendraient toujours, tu n'avais plus peur de perdre personne car tu avais perdu la plus importantes de toutes. Un homme s'était levé dans l'assistance et avait posé une dernière question. Tu le remercier intérieurement. 

"Monsieur Jung, est-ce que vous allez bien?" il avait plissé le front en signe d'inquiétude. Peut-être qu'il restait finalement des gens compétents dans ce milieu ? Tu avais voulu te montrer alors le plus sincère possible en lui répondant droit dans les yeux. 

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