3. Collier (pt.2)

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Sur ces paroles, accompagnées d'un coup sec sur la laisse, elle se laissa attirer entre ses jambes. Cependant, en bonne brat, elle entreprit de lécher, embrasser, caresser, mais certainement pas sucer.

« Je ne parle pas français ? »

Il lâcha la laisse pour s'attaquer à ses cheveux, qu'il lui tira fermement, comme pour prendre contrôle d'elle.
La brat était calmée, place à la soumise, plus docile. Elle ouvrit la bouche, montrant timidement sa langue. Il ne se fit pas prier, et lui plaça directement son sexe en bouche.

Toujours en maintenant la pression sur ses cheveux, il l'accompagnait dans ses mouvements, savourant les sensations, comme de petits chocs électriques parcourant son corps. Elle, sage, faisant de son mieux le pour satisfaire, s'appliquait dans sa fellation.

Mais ce n'étais pas assez, il voulait la sentir toute entière, sa chaleur, cette sensation si particulière lorsqu'il est en elle. Alors sans prévenir, il lâcha ses cheveux, retira les chaînes qui la maintenait en place, et repris la laisse dans sa main. Surprise, elle fut dirigée sur le lit, et il lui imposa de rester à quatre pattes, le cul bien haut.

Elle s'exécuta, sachant très bien ce qui allait lui arriver. Une fois en position, il lui remit les chaînettes de ses menottes, pour la maintenir à quatre pattes. En plongeant sa main dans son sac, il sorti un petit martinet, noir, et sans crier garde, commença à lui claquer les fesses.

Gémissante sous les coups, elle restait cependant bien en place, ne cherchant pas à les éviter, mais plutôt en les attendant avec un sentiment de peur et d'excitation. La peur de la douleur, et l'excitation que ces coups procureraient. C'était une bonne douleur.

Il observait la peau de victime prendre une couleur plus rosée au fur et à mesure que les lanières de cuir claquaient.

« Alors petit bébé, on mouille de se faire punir ? »

Elle resta silencieuse face à cette provocation, mais un nouveau coup cinglant sur ses fesses eut raison de son silence, lui arrachant un long gémissement. Il lâcha le martinet, et se mis en place derrière elle.

Il posa son sexe entre ses fesses, et s'amusa a bouger de sa longueur, pour la titiller. Ça marchait, on pouvait l'entendre à ses grognement et ses petites plaintes étouffées.

Puis il se mit en elle, la sensation était inimaginable, sa chaleur, son sexe trempée, les tremblement de son corps et ses gémissements en rythme avec les mouvements. Tout était parfait, c'était un spectacle de sensations et une vision incroyable qu'il avait.

Sa soumise, nue, attachée, à quatre pattes devant lui. C'était trop, il fallait qu'il lâche.
Il multiplia les accoups, tantôt rapides, tantôt puissants, tout en tirant la laisse pour lui faire maintenir la tête droite. Les idées perverses lui traversaient la tête, et l'excitation montait doucement jusqu'à son paroxysme.

Sentant sa limite approcher, il se retira, et se place à genoux sur le lit face à elle. En lui prenant les cheveux, elle compris tout de suite, et ouvra grand sa bouche.

Il se plaça face à sa bouche, entretenant son excitation en se masturbant, jusqu'à sentir l'orgasme venir. Il lui fit prendre son sexe en bouche juste avant, pour lui faire goûter. Une explosion de sensation avait lieu dans son corps, pendant qu'il lâchait dans un râle le fruit de leur efforts.

Lorsque la vague de plaisir fut passée, il l'a regarda, et, en passant la main sur sa joue, lui sourit.

« Bonne fille. »

BratOù les histoires vivent. Découvrez maintenant