11. Kidnapping (pt. 2)

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NB : Ce chapitre aborde des sujets concernant des pratiques BDSM sensibles comme du CNC (soft, néanmoins) et de l'abduction play. Si ces sujets peuvent vous déranger ou trigger un mauvais souvenir, vous pouvez vous passer de ce chapitre. De toute façon, le jour ou je ferai une trame entre mes chapitres n'est toujours pas arrivé.

Msieur.

———

Elle était un peu perdue. Depuis combien de temps était elle dans ce coffre ? 10, 20, 30 minutes ? Le trajet lui semblait une éternité.
La voiture se mit bouger et trembler un peu, comme si elle quittait la route lisse et stable. Puis tout s'arrêta, et elle entendit le craquement du frein à main. Elle était arrivée à destination.

Il sortit de la voiture, ouvra le coffre, et la lumière envahit le coffre. Malgré la cagoule, elle senti passer la chaleur et l'intensité de la lumière à travers le tissus. Elle était dehors. c'était déjà une bonne nouvelle, c'était peut être mieux qu'une cave ou un garage sous terrain. Il l'a détacha, et la fit sortir de la voiture, en accompagnant son corps engourdi.

Elle essayait de distinguer où elle était à travers les mailles de la cagoule. Le bruit des oiseaux, une légère brise dans les feuilles environnantes... Puis elle senti sa main autour de sa nuque, lui imposant de ce mettre à genoux. Elle était à moitié déshabillée, au milieu de ce qu'elle devinait être un bois ou une forêt.

« Ne t'inquiète pas, il n'y a personne. Enfin, je crois... » S'amusait-il

Il se mit a sa hauteur, puis passa sa main sur ses lèvres, seuls traits visibles de son visage avec la cagoule, puis glissa un doigt dans sa bouche, puis deux, puis trois, qu'elle suça avec dévouement. Puis, il retira ses doigts, et l'embrassa avec passion. Un peu déstabilisée de par la situation et le changement de comportement, elle se laissait aller, savourant leur baiser.

Puis le moment de tendresse laisse place au moment de correction. Il l'a fit se redresser, détacha ses mains, puis l'a plaqua face contre un arbre. Il lui attacha les poignets autour, la faisant presque câliner ce chêne.
Puis, il passa derrière elle, et abaissa encore un peu plus son pantalon, jusqu'à ses chevilles cette fois. Elle se sentait sans défense, exposée face à la nature et au monde,  tandis qu'il se sentait définitivement amoureux de l'œuvre qui se tenait devant lui.

Il se dirigea vers le coffre de la voiture afin d'aller chercher quelque chose. Elle s'interrogea sur la nature de l'objet jusqu'à sentir un claquement sec et sonore, suivi d'une douleur chaude sur sa fesse droite. Il avait sorti une cravache. Elle savoura les coups qui s'enchaînait sur ses fesses, ses cuisses, son dos, tout en imaginant les marques provoquées par ces assauts. Un coup entre les jambes, directement entre ses lèvres, la sortie de cette rêverie, et lui arracha un petit cri qui trahissait la douleur, mais aussi le plaisir en elle.

Il joua encore un peu avec elle, puis sentant sa limite arriver, il laissa de côté la cravache, puis vint se placer derrière elle, la main posée sur sa gorge. Il mordilla un peu son cou, son épaule, avant de lui chuchoter tout en augmentant son emprise sur sa gorge :

« Tu es à moi »

BratOù les histoires vivent. Découvrez maintenant