Chapitre 14

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Chris

Elle marche légèrement devant moi dans le couloir de l'hôtel. Elle appelle un taxi pour rentrer via delle Muratte. Elle est joueuse et j'aime ça !

Nous attendons le taxi devant l'hôtel.

- Alors, c'était amusant de jouer avec moi ? Tu as failli me laisser en pâture à ses harpies ! dis-je.

Elle éclate de rire !

- Tu aurais vu ta tête quand je t'ai proposé de rester avec tes « amies » !!! Elles étaient très déçues que tu ne restes pas ! Pauvres Biches !

- Pauvre moi ! Il va falloir que tu te fasses pardonner !

- Oh ! et comment dois-je me faire pardonner, sachant que je ne sais pas ce que j'ai fait de mal ! dit-elle en battant des cils.

- Et bien tu m'as abandonné aux mains de ces femmes qui n'en voulaient qu'à mon corps ! Ou peut-être à mon portefeuille ! C'est un détail !!

- Et qui te dis que je n'en veux pas qu'à ton corps ! souffle-t-elle alors que le taxi s'approche.

Elle monte dans la voiture devant moi. Je vais lui arracher sa robe dès que nous serons arrivés.

Le trajet me semble très long, jusqu'à l'appartement. A peine a-t-on passé le seuil de la porte que je la plaque contre le mur.

- Je me suis promis de t'arracher ta robe !

- Eh bien vas-y doucement parce que j'y tiens.

Elle m'aide à retirer ma veste et m'enlève ma cravate. Elle tire sur ma chemise pour l'ouvrir en faisant sauter les boutons. Je lui retire violemment sa veste puis trousse sa robe. Je lui arrache sa culotte avec un geste vif. Elle ouvre mon pantalon avec une certaine impatience. Je bande comme un dingue. Je me baisse légèrement pour trouver sa fente mouillée. Je glisse en elle. Oh putain que c'est bon ! Je l'entends pousser un long soupir de plaisir. Je commence à la pilonner. Ses jambes sont accrochées autour de ma taille et ses mains s'agrippent autour de mon cou. C'est putain de bon ! Je sens sa chatte se resserrer autour de ma queue ce qui a pour effet de me faire jouir instantanément. Nous avons un orgasme simultané. C'est le pied ! Il n'y a qu'avec elle que j'arrive à faire ça. Une fois l'effort terminé. Je me retire. Je vois ses yeux s'écarquiller.

Boss par intérimOù les histoires vivent. Découvrez maintenant