Salle môme

1 le réveil de jasper

Deux jeunes hommes entrent dans un entrepôt désaffecté. Ils recherchent des biens de valeurs.
Malheureusement, l'entrepôt est presque vide à l'exception de cette énorme caisse.
Les deux hommes l'ouvrent et découvrent un corps. La stupeur passé, ils décident de retirer la dague qui semble être d'une grande valeur.
Grosse erreur !!!!
Ils ne se doutaient pas de ce qu'ils allaient réveiller.

Jasper :

C'est l'odeur du sang qui me tira de ma léthargie.
Je les entend.
- putain, ce truc doit valoir cher....yes
- on va l'apporter à Lola. Elle va le fourguer sur le net.
- il a rien d'autre ?
- non.
Ils continue leur bavardage.
Ça fait si longtemps que mon corps n'a pas bougé. Il est engourdi et j'ai surtout faim. Purée, j'ai jamais eu aussi faim.
Un des deux gas a une odeur de transe assez désagréable mais peu m'importe. Ma gorge me brûle, mes membres sont tellement tendu que j'ai l'impression qu'ils vont se briser.
Sans même réfléchir, je bondit et arrache la carotide du premier en maintenant le second par la gorge à dix centimètres du sol. Il gigote comme une anguille le bougre.
Le premier n'a pas compris ce qu'il lui arrivait mais les émotions du second me submergent. Il est terrifié.
Je déteste cette impression. Je me rappelle combien je déteste ressentir leur terreur. Mais j'ai faim ! Trop faim pour réfléchir à autre chose.
Je décide de ne pas le laisser souffrir plus et m'en nourris. Trois minutes plus tard, je laisse tombé au sol leurs corps inertes.
Qu'elle bonheur de sentir la douce chaleur du sang dans ma gorge douloureuse.
Tout me revient alors. Maria, cette garce m'a piégée et enfermé ici avec cette merde dans le cœur.
Quand j'aurais retrouvé mes esprits,
Je vous jure qu'elle va me le payer et ses deux copines, Lucie et Lethy aussi.
Mon regard se penche sur les deux pauvres hommes.
Ils ont une drôle de dégaine. Un petit bibelot noir tombé d'une des poches ce m'est à vibrer.... Quel étrange objet.
Depuis combien de temps suis je endormi ?
Je décide de sortir. L'air a une odeur désagréable. Je n'arrive pas à l'identifier. Acre, nauséabonde.
Je comprends assez rapidement que je dors depuis très longtemps. La ville qui s'étend devant moi ne ressemble en rien à ce que je connais.

D'étranges charrettes bruyantes circulent en tout sens.
Les maisons sont immense, la nature absence et le sol dur comme de la roche. Une roche noir, grumeleuse sentant le pétrole !!! Dégoûtant ! Et ce bruit incessant !!!!
Les gens ont des accoutrements étranges et les femmes s'habillent de façon inappropriée.
Elles dévoilent tous, sans aucune pudeur.
A mon époque même les filles de joies étaient plus couvertes.
Il me faut comprendre cette époque et rapidement. La pluie tombe depuis au moins vingt minutes. Je suis trempé et en simple chemise à jabots, pantalon et botte.Pas très à la mode. Une voiture s'arrête a ma hauteur pour me demander si j'avais besoin d'aide.
Je détailla la femme d'une cinquantaine d'années qui me dévorait des yeux sans aucune retenue.Je pouvais ressentir ses idées lubriques et assez dégoûtantes.
Pourquoi pas après tout !!!!! Cela faisait si longtemps.
En moins de 45 minutes j'étais en train de culbuter la quinquagénaire bien entretenue avant de lui planter mes cros dans sa gorge.
J'ai maintenant le temps et le loisir de me renseigner sur cette époque.  Je marche dans l'immense maison et arrive dans une cuisine. Il y a une foule de choses dont je ne soupçonne pas l'utilité ou la façon de s'en servir.
J'apprends que nous sommes en février 2023. En 2023..... il y a 143 ans que je dors.
Je prends le temps de furter dans la maison. Cette femme s'appelle ou s'appelait Elisabeth Garret . Elle aimait les livres et en avait énormément. Je découvris avec émerveillement les découvertes de ce dernier siècle. Fabuleux !!!!!
L'espace, les trains à grande vitesse, les découvertes en matière d'énergie, les avions.... le smartphone et les multitudes d'applications..... cette époque est absolument merveilleuse.
Il y a des vêtements d'hommes. Elle est donc mariée ?
C'est à ce moment que l'odeur de testostérone envahit l'espace.
Je suis encore nu quand j'aperçois un homme passablement énervé.
- vous êtes qui?
- le Major, pour vous servir.
Après la dégustation de ce dernier repas, j'étais repus pour un moment.
Je devais partir. Il y avait une chambre de jeune garçon à l'étage. Je ne voulais pas tuer un homme à peine sorti de l'enfance.
Vêtu de vêtements de cette nouvelle époque. Je pris l'argent dans son sac à mains avant de disparaître.
Je devais trouver quelqu'un capable de m'aider, un guide .... Et rapidement.
En militaire, j'avais appris que les alliances et alliés permettaient de gagner la guerre.
C'est non loins de la ville que je la vis pour la première fois.
Ce qui attira mon attention est sa dégaine. Ses cheveux longs étrangement tressés et cette façon de s'exhiber en montrant son nombril.