Secret Life

Des mysterieuses lettres.

Chapitre2 chambre Coraline.

« je voulais juste te protéger coraline » me -dit la gentille femme en pleurant de toute ses larmes

Mais de quoi me parle -t-elle ? Me protéger ? De quoi ? Je ne comprend pas.

Coraline :dites moi ! Me protéger de quoi ?
Bénédicte: ecoute moi,Elle posa ses mains sur mes joues me fixant dans les yeux, prend ces lettres. Juste ! Promet moi que tu les liras que quand tu seras arrivée.
Coraline: que me cachez vous Bénédicte ?
Je tremble.. Je n'arrive pas à comprendre ce que contienne ces lettres. Je veux le savoir et au plus vite. C'est comme ça. Je suis comme ça impatiente de toujours tout savoir.
Bénédicte: promet moi une chose coraline... Ne part pas à leur recherche. Promet le moi.
Elle m'embrassa sur le front puis se leva pour me laisser seule dans ma chambre. Moi et ces lettres mystérieuses qui contiennent des secrets.
O
Sans m'en rendre compte je sens des gouttelettes chaudes couler le long de mes joues.

« Je ne peux pas être normal! Vivre dans une vraie famille ! Sans secret !» m'ecriai-je

Je pris mes valises et dévala les escaliers. Les filles du rez de chaussée me dévisager. Je n'en avais particulièrement rien a faire. Je m'en vais elle ne me verront certainement plus jamais.

Avançant a tâtons je percuta quelqu'un. Un homme de grande taille d'une trentaine d'années. Les cheveux d'un blond aux mèches brunes. Derrière lui se cache deux petits enfants. Deux garçons. Attendez des jumeaux ! Ils sont vêtu d'une Salopette en jean accompagne de doc Martins rouge brillante. Une femme les tiens par les mains. Elle est magnifique. Elle est brune aux yeux bleus . Ses cheveux sont légèrement' boucle. Serait- ce ma nouvelle famille ?

La femme s'avance vers moi et me sourit en me tendant sa main
??: bonjour tu es Caroline ?
Coraline: coraline... Soufflai-je

Je vis bien que mon soupire lui déplut donc je lui renvoya un sourire et la même phrase « j'ai l'habitude » ce qui la fit sourire.

??: je suis marie. Ta nouvelle mère..
Coraline: enchante.
Marie: je te présente mon mari. Josh. Mon fils... Enfin mes fils Hardin et Matthew. Dit-elle les désignant un par un avec le doigt.

Je ne savais pas comment réagir face à cela. Fallais -t-il que je leur saute dans les bras. Ou les embrasser ? Je n'en sais rien tout cela est nouveau.

Josh: suis nous la voiture est devant.

Je les suivez de près. Les jumeaux marcher se donnant des coups. Super je tombe sur deux frères qui se battent.

On entra dans la voiture. Marie m'ouvris la porte de sa voiture. Euh une Ferrari ? Sur quelle genre de famille suis-je tombé?
Je fis tomber quelque chose de ma poche. Les lettres.. Je ne voulais pas les regarder plus longtemps par peur de les ouvrir avec la cause de ma curiosité. Je les mis dans ma poche de mon chemisier.
Toute la route je regardais défiler le paysage. Ca devais faire une bonne heure que nous roulions dans Starford. Enfin nous ne sommes plus a Starford. Nous sommes à.. Miami? Miami..

Je fus sorti de mes pensées par Marie qui m'ouvris la porte.
Marie : on est arrivée.

Je sorti de la voiture et regardant la bâtisse fit tomber ma valise et mon manteau. Je sais sur quelle famille je suis tombée. Une famille de «bourgeois»
Cette maison était immense, donnant vu sur la plage. Une maison en bée vitrée, de grand mur de pierre. Je les suivi ramassant ma valise et mon manteau les essuyant a cause de la poussière qu'avais cause les cailloux.

On entra dans la maison. Ouah. C'est immense. Vraiment immense. Josh prend ma valise et mon manteau montant les escaliers à grande enjambée. Matthew et Hardin eux montent rapidement en haut certainement dans leur chambre. Je suit Marie qui me montre la maison. Tout est très moderne et propre. Des femmes traversent la maison avec des chariots rempli de balai et seau. D'accord.. Daccord je suis donc passe d'orpheline a fille bourgeoise. Ou est la caméra ?

Enfin elle fini par me montrer ma chambre. Elle était devenu pâle et me regardais certainement pour savoir si ma nouvelle chambre me plaisais. Je lui souris et lui hocha la tête. Sur ceux elle sorti me laissant seule dans ma nouvelle chambre qui faisais certainement la même taille que le réfectoire de l'orphelinat. La chambre était spacieuse. Elle était bien meublée. Un lit aux draps roses. Deux commodes blanches. Une buanderie vide. Et une télé. Deux consoles. Un miroir puis un bureau en bois. Les murs sont vraiment plus beau que ma chambre a l'orphelinat. Ils sont d'un blanc recouvert de légère paillettes qui illuminent encore plus la pièce.
Je m'élance dans mon lit et rentre dans un fou rire. Sérieusement qui aurais pensé à ça

« des vieux vêtements aux vêtements de bourgeois » pensai-je

[A SUIVRE...]

--> chapitre fini. Désolé pour les fautes. J'essaye de m'améliorer le plus.

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---> je débute. 😘