V Existence d'aimer V

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XIII

- Ce jour-là -

J'étais enfin éprise de ce sentiment que tous les Hommes aiment tant à s'abandonner : l'amour.
Je pensais, j'en étais même persuader, que c'était l'amour qui aller abattre ce mur qui entoure mon cœur.
Ce mur au parapet imbiber d'une odeur froide, refléter la fragrance qu'est la non-confiance en soi.
De l'eau s'imbiber dans mon cœur, me laissant me noyer dans une profonde tristesse.
J'en étais si certaine qu'il suffisait d'un amour sincère pour qu'enfin, mon cœur s'enlise dans une eau turquoise, les vagues esquisseraient des couleurs, qui fit chavirer mon cœur dans la joie et l'amour.
C'était si utopiquement pathétique. Oui, ça ne faisait aucun doute, je suis amoureuse.
Cette hypothèse me semblait réelle pendant un laps de temps.
Puis, la réalité me frappa à nouveau, et la douleur m'assaillie.
Les douleurs m'arrachaient de nouveau à cette heureuse vie.
Ma conscience me suppliant de rouvrir ce carnet, plein de mots et de moments douloureux.

Ainsi, mon cœur,
Je te parle en toute franchise.
Toi qui es le seul à me comprendre. Voici mon malheur.
L'amour.

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