XVIII
Et rien d'autre n'a d'importance
La distance nous embrume,
Mais les cœurs ressentent le même désir.
Garde cette même ténacité pour vivre.
Jamais je ne me suis senti vivant que dans tes bras.
Nos promesses ne s'égarent pas, peu importe la distance.
Jamais tu ne m'étais aussi loyal,
Et rien d'autre n'a d'importance
J'ai trouvé en toi les réponses que je m'étais promise de retrouver,
Jamais je ne m'étais autant senti libre.
Nos esprits si ouvert, qu'il semble s'accorder maladroitement entre eux.
Nous vivons notre vie comme si elle était simple,
Pourtant j'ai peur de t'en demander trop,
Tous ces moments ou les mots ne sont que des troubles cris dans ma tête,
Que tu arrives à essouffler par ta simple présence,
Et rien d'autre n'a d'importance
Mes peurs qui me faisait dériver,
Ma confiance qui n'a jamais était réelle,
Est retrouvé en toi.
Si je m'égard, j'ai peur de trop tant demander.
Mais c'est dans ton regard,
Que j'ai compris qu'il valait mieux me dépecer de mes doutes.
Et c'est dans tes gestes que tu pansais l'horreur que je suis,
C'est dans tes mots que se noient mes peurs,
Et rien d'autre n'a d'importance
Mais chaque fois que tu dors je t'entends,
J'entends tes soupirs et tes plaintes.
Finalement, j'ai compris que même l'étoile est incomparable à ta grandeur.
Car chaque jour tu éteins ton cris,
Mais le soir tu le laisses éclater en une explosion lumineuses.
Souvent, face à ton silence,
Je me sentais comme une vagabonde étoile,
Et le soir lorsque tu pleurs en cachette,
Je te mets à nu dans mes bras,
Et rien d'autre n'a d'importance
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L'Occident
Poetry« Mais on dit que, dans la tombe, le Kâ de l'homme, qui est son âme, regagne le corps et mange la nourriture qu'on lui offre et se réjouit des fleurs qu'on place devant lui. Mais Kâ consomme très peu, si peu que l'œil humain ne peut le mesurer. [...