Le Kâ consomme mes malheurs maladifs, et la Grâce de me soumettre joyeusement à mon créateur.
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L'Occident
Poesía« Mais on dit que, dans la tombe, le Kâ de l'homme, qui est son âme, regagne le corps et mange la nourriture qu'on lui offre et se réjouit des fleurs qu'on place devant lui. Mais Kâ consomme très peu, si peu que l'œil humain ne peut le mesurer. [...
Kâ
Le Kâ consomme mes malheurs maladifs, et la Grâce de me soumettre joyeusement à mon créateur.