XI
Ce jour-là, ou le temps n'avait ni infini, ni début.
Un jour, ou même la date n'avait pas de définition exacte.C'étais un soir, ou certain rayon du soleil flânait encore sur l'herbe verte. Un soir différent de tous ce que j'ai pu connaitre, et de tous ce que je connaitrais. Ces soirées douces ou la nature vous transportent dans des contrées assourdissantes, qui ne se déroule que dans votre imaginaire. Des contrées ou aucun autre Homme que vous, n'avait déceler la véritable nature de cette vue divine. Ce n'était pas un soir comme un autre, et seul Horus sait à qu'elle point si peu de chose pouvait me rendre heureuse.
VOUS LISEZ
L'Occident
Poetry« Mais on dit que, dans la tombe, le Kâ de l'homme, qui est son âme, regagne le corps et mange la nourriture qu'on lui offre et se réjouit des fleurs qu'on place devant lui. Mais Kâ consomme très peu, si peu que l'œil humain ne peut le mesurer. [...