Soul Of The Moon (EN RÉÉCRITURE)

12. La famille engendre la haine.

"Parfois seul nos proches nous apporte une haine sans égal."

Helios. ☽

– Mon oncle ?

Mieux, la voiture appartient à nos vieux amis. - Commence Rain.

– Les Cristens.

J'espérais tous sauf eux, j'en préférais encore a me faire à l'idée que se soit mon oncle.

Les Cristens étaient des alliés du temps ou mon père dirigeait cet empire mais j'ai préféré arrêter le contrat avec eux quand j'ai repris les rennes. Participer à des trafics d'être humains n'est pas mon délire et loin d'être dans ma nature. C'est eux les premier que j'ai virer de ma liste de changements, je n'avais que ça en premier objectif. Mais ils n'ont pas l'air d'avoir aimé cela et ont une petite idée de vengeance il faut croire.

Le seul soucis, ce que je ne comprend pas pourquoi se mettent-ils en tête de vouloir la Hill ? J'ai capté que c'est la hackeuse la plus douée du pays voir du monde mais de là à vouloir sa mort surtout quand il ne connaissent pas sa vraie identité. A moins que..

– On doit une petite visite à mon cher Oncle. - Déclarais-je en vexant mon hackeur.

Rain acquiesce déjà impatiemment de voir les excuses que cet enfoiré me sortira pour sauver sa peau et la haine monte en moi envers cet individu qui se doit d'être mon oncle.

Je me lève, prends ma veste en cuir au passage qui était sur mon canapé et sortons d'ici, un signe de tête vers mon second qui est dans le salon et il nous suit sans poser de question.

On prend mon Aston Martin DBS, un bijoux ambulant. Et le bruit du moteur qui est un pur plaisir auditif.  Cyan, je te comprends mieux quand on touche à ta fille adorée et que tu pètes une crise.

Soan côté passager qui est plus que content et Rain derrière pour une fois, sans son pc portable.

Arriver sur l'autoroute, je souris comme jamais car c'est ici que j'accélère et roule aussi vite que je peux. Le pouvoir de contrôler ce bijou me donne des frissons à chaque fois.

– Un jour, on vas mourir dans cette voiture. - Siffle Rain a mon intention.

– T'as sauté d'une voiture pour un petit creux, ça peut pas être pire.

Il lève les yeux au ciel et ne dit plus rien. J'ai peut-être de la rancune mais je mets dans un coin de ma tête qu'il va être bien secoué ce guignol pour savoir mis dans une situation pareille.

En même pas 15 minutes, on arrive asser vite à la villa de Loukas. Toujours gardée par deux gardes à la grille, pas besoin de dire qui je suis, ils ouvrent la grille automatiquement et nous laisse passer en se courbant, signe de respect puis en avançant dans la longue allée bordée de buissons sur les deux côtés, l'énorme bâtisse blanche se dessine devant nous. On se croirait devant un énorme château des anciennes époques.

Loukas a toujours ce goût de luxe, vue en grand, ça m'horripile toujours.

Je descends de la voiture garée devant l'entrée alors qu'un des serviteurs s'approche de moi et de ma voiture. Mon oncle a une personnes pour le servir dans tout, une femme de ménage, un voiturier, un styliste qui manque visiblement de gout et j'en passe. Tout pour qu'il ne se salisse pas ses mains de grasse.

Rêve toujours de t'approcher de mon bijoux enfoiré.

– Tu l'as touche, t'es un homme mort.

Il recule aussitôt de la voiture en mettant ses mains en l'air ne cherchant pas les ennuis et me laisse passer. Personne à part moi ne touchera cette voiture.