Soul Of The Moon (EN RÉÉCRITURE)

8. Le souvenir douloureux.

"Nos choix nous appartient."

Xelina. ☽

– Je ne viens pas. - Dis-je froidement.

– T'as pas le choix.

J'inspire tout l'air que je peut pour éviter de le baffer, je haï recevoir ses putain d'ordre et la il s'amuse a me foutre encore plus les nerfs que d'habitude.

Connard.

Alors pour le narguer, je m'assois dans le canapé et croise mes bras sur ma poitrine. Jamais je ne changerai d'avis qu'il se fasse a l'idée.

– Putain joue pas avec ma patience.

Je me tourne vers lui, bien déterminée à le pousser à bout.

– Je ne vais surtout pas me priver.

Je l'entend soupirer bruyamment et partir à la cuisine ou les autres y sont.

Putain j'aurai pas du lui en parler, pourquoi je ferme jamais ma gueule moi sérieux ?

Ca fait au moins cinq minutes qu'ils se  sont regroupé a la cuisine, qu'est-ce qu'ils foutent putain ? Manigancé un plan pour me sortir de force ? Trouver des arguments de taille pour me convaincre ?

Puis j'entends le rire de Riven qui m'énerve encore plus. Il a l'air très heureux ce con et je me demande bien pourquoi. Puis encore quelques minutes après, leurs trois têtes apparaissent dans mon champ de vision et vu le sourire de Riven, l'air calme de Soan et Nia avec deux sacs, je redoute ce qui va suivre car je sais que je vais pas aimer du tout.

– Allez-y j'arrive. - Dis Soan vers Nia et Riven.

Ils partent et Soan s'avance vers moi d'un pas nonchalant comme son existence.

– T'approche pas. - Dis-je un peu trop sèchement que voulu.

Mais il m'ignore royalement alors je me lève pour le contourner mais il est plus rapide et se baisse en m'attrapant par la taille pour me balancer sur son épaule comme si je pesais le poids d'une plume. En même temps 60 KG contre 80 de muscles du m'étonne qu'il a eu facile..

– Bon conseil pour toi, lâche moi maintenant. - râlais-je pour encore plus le pousser à bout.

– Tais-toi un peu.

Oh crois moi que je ne vais absolument pas t'écouter !

Je vais décidément l'étrangler pour de bon. Je tape son dos de toutes mes forces et même s'il lâche quelques grognements de douleur, il ne relâche pas sa prise pour autant.

Faut que je m'entraîne plus car il me casse les pieds pour avoir plus de force que moi.

– Putain Soan ! - Criais-je de rage.

On sort de la maison et il me balance dans la voiture, sans délicatesse et non sans me fusiller du regard que je prend la peine de lui rendre. Abruti fini !

Vas chier connard !

Nia a mes côtés derrière me lance un regard désolé. Traîtresse. Je te retiens ma sœur, sur se coup t'as pas vraiment assuré.

Riven devant moi, se marre comme un con et Soan monte à son tour, il démarre la voiture comme un malade et on s'éloigne de l'appartement peu à peu.

Putain ils vont m'emmener dans quel villa ces deux la encore..

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