Ma nouvelle Muse fiction 😊 Quand une jeune femme enfermée dans le monde très étriqué et codifié d'une secte découvre la musique qui changera sa vie et l'incitera à se rebeller...
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Akilyne vérifie rapidement que les quelques moutons et chèvres aient suffisamment de foin frais et d'eau propre à leur disposition avant de commencer à nettoyer un peu la bergerie. Elle râle toute seule :
- Ça va, ce n'est pas trop sale. J'aurais dû prendre le seau pour traire une des chèvres au lieu de le laisser à maman, ça nous aurait avancées dans notre travail. Maintenant, non seulement je vais devoir attendre comme une idiote qu'elle arrive, mais en plus on va devoir courir pour faire tout le reste après si on ne veut pas qu'elle se fasse encore réprimander par papa.
- Pourquoi veux-tu attendre comme une idiote quand tu peux à la place passer un petit moment agréable avec un jeune homme à qui tu plais beaucoup ?
Lalbiak se tient à l'entrée de la bergerie et fixe la jeune fille en souriant.
Elle sursaute, se cognant violemment le coude dans le mur en pierre, ce qui lui fait pousser un gémissement de douleur.
Lalbiak s'approche :
- Ce n'est pas grave, attends, je vais faire du bien à ton coude pour que tu n'aies plus mal.
Effrayée, elle recule d'un pas, mais ne peut aller plus loin puisque le mur est juste derrière elle. La voyant prise au piège, il continue d'avancer jusqu'à être juste devant elle. Elle est prête à crier, mais il l'en empêche en collant une main sur sa bouche :
- Tais-toi Akilyne enfin... Je ne suis pas là pour te faire du mal... au contraire...
De son autre main, il lui saisit son coude endolori. Comme elle ne se laisse pas faire, il l'empoigne plus fermement :
- Pourquoi tu remues comme ça ? Je veux juste te le frotter doucement pour apaiser la douleur. Je suis un homme gentil, qu'est-ce que tu crois ? Même si ton père a préféré te fiancer avec ce nigaud faiblard et laid de Nabolz alors que je sais qu'au fond tu me préfères moi.
Elle tente de protester derrière la main qui écrase toujours sa bouche, mais elle ne parvient à faire sortir que des sons étouffés incompréhensibles.
Le jeune homme demande :
- Ta mère va te rejoindre bientôt dans cette bergerie ?
Elle se dit qu'une réponse affirmative le fera probablement fuir et acquiesce de la tête. Mais il réagit à l'opposé :
- Alors, je n'ai pas de temps à perdre en beaux mots et en simagrées inutiles, désolé Akilyne. Tu es à moi, sûrement pas à ce benêt de Nabolz et tu le sais très bien au fond de toi. Tu vas avoir tout de suite l'honneur de subir pour la première fois de ta vie la puissance virile que tu convoites tant... Ça va beaucoup me plaire... Et toi aussi ça va te combler, tu verras... Tellement te combler qu'il se pourrait que tu vois le fruit de ce plaisir sortir de tes entrailles dans 9 mois... Et ton père sera bien obligé de revenir sur sa décision quand il verra ton ventre arrondi par le plaisir.
