CHAPITRE XXVI

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Après avoir fait des heures et des heures dans les airs, l'avion atterissait enfin. Harian posa son regard sur le visage endormie de sa femme.
Sa femme!! C'est ce qu'était Derya maintenant ; elle était à lui et à personne d'autre.
Il descendit de l'avion, sa femme dans les bras . Ils montèrent dans la voiture et cette dernière les accompagna jusqu'au penthouse qu'Harian avait réservé pour leur séjour.
Arrivée dans la chambre, Harian déposa lentement sa femme sur le lit. Il soupira de fatigue; le voyage avait été long. Il s'étira paresseusement et se dirigea directement vers la salle de bain. Il prit une bonne douche chaude et rapide. On dirait bien qu'ici l'hiver était en avance, il faisait déjà si froid.
Il retourna dans la chambre, vêtu d'un T-shirt et un pantalon à carreaux  et retrouva sa tendre épouse debout sur la petite terrasse; Elle était en robe de nuit .

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Derya émergeait enfin de son long sommeil. En ouvrant les yeux, elle considéra un moment le décor de la chambre. Où Harian a-t-il bien pu l'emmener ?? Elle entendit le bruit du jais d'eau de la douche. Il faisait déjà si froid, alors elle mit juste une des robes de nuit qu'elle avait choisi avec soin avec Mavis sa belle-sœur . Tout était extrêmement sexy et provoquant. Elle rit en se souvenant de comment sa belle-sœur a mit cette robe dans ses achats.
Elle se changea et sorti sur la terrasse pour admirer la vue, et pourtant elle ne devinait toujours pas où ils étaient.
Tout d'un coup, elle fut recouverte par un énorme challe et deux bras vigoureux. Son mari posa un baiser sur sa tempe la serra encore plus fort.

_Ça y est tu as deviné là où nous sommes ??

Elle soupira d'exaspération

_Bien sûr que non, Bougonna t-elle

Il rit à gorge déployée du ton de sa femme. Il se moquait bien d'elle

_Un jour madame m'avait dit qu'elle rêvait de visiter un pays parce qu'elle aimait beaucoup la langue.

Derya se souvint enfin de ce jour là. Le pays qu'elle voulait tant visiter parce qu'elle appréciait la langue c'est l'Espagne. Elle aimait tant cette langue, qu'elle la parlait, bien que très légèrement.

_Nous sommes à Madrid !! S'écria t-elle les yeux tout brillant en se retournant vers son mari.

Elle l'embrassa ensuite tendrement comme pour le remercier. Puis l'embrassa de nouveau, puis encore, et encore , et encore. Ce chaste baiser de remerciement c'était transformé en quelque chose de plus passionnée, plus brûlant, plus avide. Les deux amants se cherchaient et se trouvaient dans un baiser langoureux et sauvage, comme deux bêtes affamés, privé de nourriture depuis plusieurs jours.
Harian prit son épouse par les cuisses et la hissa jusqu'au niveau de ses hanches où elle enroula ses jambes.
Toujours dans la torpeur de leur baiser sans fin, Harian rentra dans la chambre, sa femme dans ses bras tout en refermant la porte-fenêtre par le pied. Ils ne disaient rien ; Non! Ils savouraient, ils se dévoraient l'un l'autre, essayant de calmer chacun la faim qu'ils avaient de l'autre.
Arrivé près du lit, Harian jeta sa femme violemment sur le lit, et celle-ci étouffa un petit gémissement.
Il retira ensuite rapidement son haut et se jeta sur sa femme. Il entreprit de débarrasser sa femme de l'étoffe de soie qu'elle avait pour robe et la balança au sol.
Il descendit ensuite sur son cou, laissant des petits baisers partout, des suçons, des marques ; il savourait sa femme avec un appétit monstre. Il la voulait elle et plus jamais quelqu'un d'autre, juste elle et rien qu'elle.
Il descendit ensuite sur ses seins, s' en occupant un par un pour faire durer le plaisir de sa tendre épouse. Il mit en bouche un à un les pointes déjà durcies de la poitrine gracieuse de sa femme, lui donnant ainsi un plaisir qui se traduisait par ses doux gémissements dont il se plaisait à entendre. Il avait l'impression que jamais de sa vie, même s'il lui faisait l'amour des tonnes de fois il ne pourrait se rassasier d'elle.
Derya, ayant marre de se sentir dominé, fit basculé son mari vers le bas; C'est elle qui était aux commandes à présent. Elle débarrassa son mari du reste de ses vêtements, et elle aussi jusqu'à ce qu'ils furent tous deux nous comme des vers.
Derya embrassa son homme, sur la bouche, dans son cou, faisant passer sa langue chaude sur chacune de ses oreilles, sur son torse fort et musclé.
Harian faisait ces petits grognements sexy qui ne faisaient qu'accentuer le désir et l'envie de sa femme. Elle descendit encore, plus bas, plus bas, plus bas, procurant à son mari un plaisir auquel il n'avait jamais encore goûté jusqu'ici.
Ayant marre d'être dominé, Harian renversa sa femme et se retrouva de nouveau au dessus. Les deux étaient assoiffés, ils voulaient arrivé au dénouement final, ils voulaient atteindre l'extase, voulaient être sien l'un pour l'autre, et ce moment arriva, Harian fit sa femme sienne en la pénétrant. À cet instant, c'était comme s'ils ne faisaient plus qu'un, chacun emporter par la torpeur, le plaisir, l'envie, la passion. Ils bougeaient tous deux dans un rythme harmonieux, en symbiose, se prenant l'un l'autre avec un désir plus chaud que n'importe lequel. Ils étaient un, il était à elle et elle était à lui. Harian se mouvait de façon douce, lente, tendre, puis accéléra la cadence comme embarqué dans une course folle. Les deux amants profitaient, se plaisaient et ils s'aimaient jusqu'à chacun atteindre cet orgasme tant attendu, ce dénouement final tant recherché.
Cette nuit-là, ils firent l'amour encore, encore et encore jusqu'à l'épuisement.
Harian monta le drap jusqu'au menton de Derya. Elle avait l'air épuisée, et c'était normal. Il contempla sa jeune épouse d'un regard attendri et protecteur, il la serra dans ses bras

_Tu sais quoi Harian? Murmura Derya ensommeillée

_Quoi??

_Je t'aime

_Aujourd'hui?

_Demain

_Jusqu'à la fin......

   POURQUOI PAS TOI?Où les histoires vivent. Découvrez maintenant