Seconde Chance Tome 2 - The 100, Bellarke fanfiction

Chapitre 7 : Cauchemars

Clarke

J'en ai marre, marre d'être constament effrayer. Marre de courrir. Je ne saurais même plus dire à quoi j'essaye d'échapper. La solitude me pèse mais à vrai dire je ne sais pas si je saurais retrouver le chemin du camp. J'ai marcher tellement longtemps et les paysages changent avec les saisons, de nuit, de jour ...
En plus j'était coincé dans un bunker à cause d'une maladie que j'avais attraper la veille. Et je dois avouer que avec moi-même j'était vraiment nul comme docteur : je n'arrivais pas à trouver de quoi je souffrais. De toute façon ça ne changera pas grand chose, je n'ai pas de médicament avec moi. Je n'ai qu'à espérer que depuis mon arriver sur Terre, mon corps à eu le temps de fabriquer les défenses nécessaires pour que je ne meure pas d'un truc aussi stupide qu'une grippe. Sur l'Arche, la grippe ( ainsi que le rhume et d'autres maladies ) ont été éradiquer. Mais sur Terre, les virus ont très bien pu continuer de se développer, voir même de muter...
J'eu une nouvelle crampe. Je ne savais pas si c'était dû à ma mystérieuse maladie ou à la faim. Je savais qu'il fallait que je mange pour aller mieux mais je ne pouvais rien chasser dans mon état. C'était un cercle vicieux.
Dans ses moment je me souvenais de ma mère qui me berçais petite et qui me carressais le dos. De mon père qui essayais de me raconter des blagues qui même si elle n'était pas drôles du tout parvenais tout de même à me faire sourire. A Raven qui me faisais rire chaque fois qu'elle se disputais avec Wick, Jasper et Monty faisant leurs check qui n'appartenait qu'à eux, Octavia taquinant son frère ...
Mon dieu ... Qu'est ce que Bell me manquait !

Bellamy

- Bell ... Bell ... murmurais Clarke pendant son sommeil
Un sommeil plutôt agité, elle ne cessais de bouger, dans tout les sens.
Je courru vers elle et me glissais sur son lit de sorte à le tenir entre mes bras et de l'empêcher de trop bouger. Elle se débattais malgré tout et le m'approchais de son oreille et lui dit tout bas :
- Je suis là Clarke, je suis là ...
Elle ne cessais pas de se débattre pour autant.
Je jetais un regard à Jackson, lui demandant silencieusement ce que je devais faire mais celui-ci semblait aussi dépasser que moi.
Il s'approcha et vérifia toutes les données des instruments mais il ne semblait pas comprendre.
- Merde, Jackson ! Dit moi ce qui se passe !
- Je ... Toutes ses données sont parfaitement normales ... Elle a juste un peu de température ...
Le fait que lui sois perdu ne me rassurais pas du tout. Je me mis à crier
- Va chercher Lincoln !
Il hocha la tête et sortis précipitament de la pièce.

Clarke

J'était rester trois jour allongé, puis la faim était devenu trop forte donc j'était quand même sortie, partie à la recherche de fruits atteignable sans avoir à grimper aux arbres.
Faut croire que je n'était qu'à moitier chanceuse. Malgré l'hivers je trouvais quelques pommes encore accrocher aux arbres. Je pris des pierres et commençais à viser la branche. Je fus obliger de faire une pause quand une nouvelle crampe se fit ressentir. Je soufflais et continuais de tirer.
La branche cèda au bout d'une vingtaine d'essai.
Je me précipitais sur le fruit et en mangea un avec avidité. Je savais que c'était mauvais après une période de famine mais j'avais tellement faim ! Je ramenais néamoins le reste de la branche dans le bunker pour le manger plus tard.
Les fruits n'était pas très beau et j'en avais manger de meilleures mais je ne faisais pas vraiment ma difficile.

Au bout d'une semaine, j'était complètement rétablie. Je repris ma marche. J'avais entendu que près de l'océan l'hivers était plus doux. Heureusement nous étions à l'abris du vent (en grande partie) grâce au Mont Weather.
J'avais trouvé un endrois agréable entre deux collines plutôt haute. Les arbres fruitiers n'étaient qu'à 15 minutes et la mer était à une demi-heure. Je me mis en tête de construire une cabane pour passer l'hivers. Au pire j'avais le bunker si elle ne me protégeais pas assez. Mais je ne voulais pas vraiment vivre sous terre. La lumière me manquait trop.