Partie 49
Bismillah ♥
Quelques jours son passé depuis le soir où j'ai parlé à Kamel...
Durant ces quelques jours je m'était couper du monde, j'avais envie de voir et de parlé à personne, toute la tristesse que je stockais en moi durant toutes ces années refaisait surface, je n'avais plus gout a rien mais pas une petite déprime comme les précédentes , non, là j'était au fond du gouffre, j'avais le sentiment que personne ne me comprenait, que j'avais beau tout faire pour que tout le monde soit bien ce n'était jamais assez, je sais pas pourquoi j'avais toutes ces idées en tête mais je les avais et il m'était impossible d'avancer comme auparavant, Nabil, Mounia, Ma tante et mon oncle allah y lahmou ma vie entière me manquer, je me sentais oppressé je n'était plus maitre de mon destin, tout était calculé dans les moindres détails...
Faress n'arrêtait pas de m'appelé, il m'harcelait geh, sa me faisait mal de l'ignorer mais je n'avais pas la force de répondre aux nombreuses questions qu'il voulait me posé, j'étais enfermé dans ma bulle et je ne désirais pas en sortir en tout cas pas pour le moment...
J'avais pris un arrêt maladie, mon médecin au début ne voulait pas mais j'ai insisté en disant que j'étais vraiment à bout, il m'a donc fait mon papier...
Je ne sortais pas du tout de la maison, je continuais de m'occuper de ma famille mais je ne leurs adressais pas une parole ou même un regard, je n'étais que l'ombre de moi même, vous expliquer clairement pourquoi j'étais dans cette état là mais impossible car moi même je ne me comprenais pas...
Un soir j'était dans mon lit, comme la plus part du temps sous ma grosse couette et je regardé par la fenêtre, il pleuvait à verse accompagné du tonnerre, un belle orage quoi, j'apercevais les arbres bouger, enfin les branches hein, j'était loin, très loin dans mes pensées, j'entend qu'on frappe à ma porte, je ne répond pas comme à mon habitude c'dernier jours, la personne entre, s'allonge derrière moi (j'étais dos a la porte vous voyez ?) et il me cale dans c'bras ;
Younes : Oukhty ca va ?
Moi : ...
Lui : Répond moi juste par oui ou non...
Moi : Oui
Comme toujours je ne souhaite pas exprimé mon mal être, je n'ai pas envie qu'il se sente coupable alors je réponds ce qu'il a envie d'entendre...
Lui : Pourquoi tu mens ? Je sais que tu vas pas bien, tu nous calcule ap, il se passe quoi ?
Moi : Rien...
Lui : Amel c'est un mec ?
Moi : ...
Lui : Amel je dehak pas, si un mec t'as fais héja dit le moi, wallah je le tue !
Moi : ...
Lui : Ouffff...
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Chronique d'Amel : A la cité, là où tout a commencé
Tiểu Thuyết ChungCe n'est pas moi qui la écris hein , c’est une chronique que j'aime bien , voila pourquoi je la partage avec vous histoire RÉELLE