Partie 51
Bismillah ?
Comme je disais, j'étais heureuse, sa y est je commençais à voir le bout du tunnel comme on dit, j'avais enfin le sentiment de revivre, comme si tout mes « problèmes » avait enfin trouvé une solution, oui c'sa, Kamel était la solution à tout ce qui me tracasser c'dernier temps...
Je vous passe quelques jours, j'étais redevenu la Amel que tout le monde apprécie, je souriais, rigolait, profité de ma famille, je faisais vraiment tout pour me faire pardonner mon comportement, car même si ils ne me le diront jamais je savais au fond que je les avais blessé, mais fierté quand tu nous tiens !
Par contre il y avait comme une ombre au tableau, Faress était devenu distant, je sais pas pourquoi, après le soir où il m'avait raccompagné je n'ai plus eu de nouvelle, si j'appellais pas il ne le faisait pas, je sentais que quelque chose clocher...
Un matin je me suis rendu chez lui, pour voir sa famille mais aussi pour m'expliquer avec lui ;
Moi : Faress il t'arrive quoi ? Pourquoi tu calcule pas ?
Lui : Bah non je suis normal !
Moi : Mito dit ya quoi ?
Lui : Amel vasi je préfère on se calcule moins !
Moi : o_O pourquoi ?
Lui : Bah je sais ap t'es avec Kamel et t'as vu comment il se fait des films, j'ai pas envie de te créer des problèmes !
Moi : Mais n'importe quoi toi, t'es mon frère je m'en fous de Kamel il a rien à dire !!
Lui : Arrête tmtc que sa le gène...
Moi : ...
Au fond je savais qu'il avait raison, mais Faress m'a tellement apporté wallah sa a était un ange avec moi, il m'a soutenu quand tout le monde faisait sa vie et m'avait oublié, je me voyais pas vivre sans lui, sa y est je l'avais adopté lui et sa famille et eux pareil, je n'avais pas envie que tout sa s'arrête, j'étais folle de Kamel, mais Faress c'est Faress quoi...
Lui : Bon jdoit bouger, a+ inch'Allah...
Moi : ...
J'étais à deux doigt de pleuré, avec toutes c'histoire j'étais devenu une fille faible qui pleure à la moindre contrariété...
Kayna me rejoint ; (j'étais dans la chambre de Faress avec lui avant qu'il parte, Kayna c'est sa sœur de 21 ans)
Elle : Bah alors ma belle, tu fous quoi la ?
Moi : Rien... je vais rentrer
Elle : Tu pleure ? Qu'est ce qui a ?
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Chronique d'Amel : A la cité, là où tout a commencé
General FictionCe n'est pas moi qui la écris hein , c’est une chronique que j'aime bien , voila pourquoi je la partage avec vous histoire RÉELLE