Toutes sortes de bruits résonnent, comme si l'on fouillait dans une boite à outils, sans trouver l'objet désiré. Puis le bruit d'une bouteille qui déverse un peu de son contenu dans un verre. Le tintement des glaçons ... Mais qu'est-ce qu'il attend...vite qu'on en finisse. Mes bras me font mal, le sang peine à irriguer mes membres. Ma tête tourne, je gesticule un peu pour ne pas m'évanouir. Une violente claque s'abat sur mon cul. Je crie de surprise, de douleur, de panique... "Chuuuut!" Alors il a vraiment décidé de me torturer avant de me tuer. Hannya va être contente. Peut-être qu'il est temps de lui laisser la place. Après tout elle fait partie de moi, et si je ne peux la chasser autant la faire régner. J'abandonne la lutte, et lui laisse la place.
C'est à ce moment là que mon agresseur décide de jouer. Une douleur intense sur un de mes tétons réveil Hannya pour de bon. Une brulure. La flamme passe ensuite de l'autre côté. Hannya gémit. Mon entre-jambe se liquéfie, entre jambe qui reçoit à son tour la visite du feu. Cette sensation est d'abord très agréable mais devient très vite insupportable. Les tentatives pour y échapper sont sans résultat. La flamme finit par s'éloigner, remplacée par un flot de cire brulante projetée sur mon corps. La violence de ce jet me fait trébucher et je me retrouve pendue par les bras déjà très endoloris. Mais Hannya se rebiffe et, une fois la brulure passée, se redresse sur ses jambes. Elle repousse les limites, mais est-elle consciente que cette fois-ci le bourreau ne s'arrêtera pas avant de l'avoir anéantie? Un enchainement de coup de fouet déferlent alors de ma poitrine à mon sexe gonflé de désir. Je devine à la douleur insupportable que ma peau doit être écarlate, presque à sang. ça occupera les flics lorsqu'ils devront compter le nombre de coups. Je ne pensais pas que ça se finirait comme ça. Même si je rêvais d'une fin romantique, genre suicide passionnel en me jetant du haut d'une tour, je pensais plutôt mourir de vieillesse, mais jamais je n'avais envisagé mourir victime d'un pervers.
Quelques bruits métalliques dans la boite à outils et je me retrouve avec une pince sur chacune de mes petites lèvres. Mais très vite je ressens un poids tirer ma peau vers le bas. Hannya gémit. Le même sort est alors réservé à mes tétons. Je me sens tiraillée. Hannya prend son pied. Mes bras son décrochés et on me force à me mettre à 4 pattes. Le sac en tissu toujours sur ma tête m'étouffe mais je n'ose pas bouger, qui sait de quoi est capable ce malade? Ses doigts s'immiscent dans mon entre jambe et cette sensation est presque apaisante. Mais quelque chose de froid vient forcer mon petit trou et entrer sans crier gare. Malgré le passage désagréable, l'excitation monte encore d'un cran. L'attente devient insoutenable. Quitte à mourir laissez moi jouir de toutes mes forces une dernière fois. me délivrer de toutes ces envies frustrantes. Mais Hannya ne suppliera jamais. Elle dandine alors le cul comme pour faire comprendre qu'elle en veut plus. Les poids qui pendent accrochés à mon corps se balancent et s'arrachent. Une pluie de claques s'abattent alors sur mon cul, accentuant encore plus mon envie, qui coule le long de mes cuisses.
Mon corps est une fois de plus soulevé dans les aires et je me retrouve comme allongée sur le bord d'une table, écartelée, le cul en l'air, à sa merci. Il prépare quelque chose. Des objets se déplacent le bruit d'un petit moteur qui se met en route. Une pénétration lente, mécanique, d'un objet froid et raide. Un rythme constant, d'une lenteur atroce. Chaque pénétration frôle l'objet toujours niché dans mon cul. Et cette sensation qu'à se rythme là je pourrais rester des heures sans arriver à jouir... je laisse échapper un gémissement de désespoir. J'entend alors sa braguette descendre. Mon plug est violemment arraché et remplacé par son sexe trop gros mais tellement bon. il me prend violemment tout en accélérant la machine qui s'occupe de mon autre trou. Tous mes orifices comblés je vais enfin atteindre cette jouissance libératrice. La dernière, mais quelle dernière. Ma peau mise à sang frotte douloureusement sur la table ainsi que mes tétons qui envoient de petites décharges à chaque frottement. J'hurle de délivrance. Mon corps entier semble exploser. Je suis exténuée par cette jouissance tant méritée. Mais il ne s'arrête pas et me pilonne de plus belle accompagné par sa machine. Il faut que ça s'arrête. J'ai du mal à respirer. Je me liquéfie sous ces assauts. Mais déjà une autre jouissance arrive encore plus dévastatrice que la précédente et un flot de sperme s'abat sur mon dos. Je le supplie alors d'arrêter la machine, tentant de reprendre ma respiration. Mais pour seule réponse, il replace le plug dans mon cul. J'étouffe dans ce sac, je pleure d'épuisement, mais la machine continue encore et encore. Me pénétrant sans relâche. Ma chatte gonflée n'en peut plus mais pour la troisième fois mon corps part en éclat pour une jouissance toujours plus puissante. Cette fois-ci, je m'évanouis.
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L'entretien
RomantikLes claquements de mes talons retentissent sur le carrelage malgré le brouhaha ambiant. Ce rythme me donne la force d'assumer... elle est cachée mais je la porte fièrement ..cette tenue qui me plait tant.