Prologue

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20 janvier 1901

Nous étions dans notre chalet , mon mari , mon fils et moi , entrain de profiter du doux feu qui nous réchauffait en cette froide matinée d'hiver .

- Mon fils : Mère , le petit déjeuner est bientôt prêt ? Demande-t-il visiblement impatient.

-Mon mari : Je commence aussi à mourir de faim. Fit-il pour me taquiner .

- Moi : Encore un peu de patience mes ogres

Je finissais de cuire les œufs et les apportais dans la salle à manger en les déposant sur la table . Je revins ensuite déposer le pain , le jus d'orange , les fruits ainsi que le beurre .

-Moi : Voilà. Venez manger le petit déjeuner est servi ! Dis-je en soufflant légèrement.

-Mon fils : Enfin ! Dit-il en se précipitant vers la salle à manger .

- Mon Mari : Fiston ne cours pas sinon tu risques de faire tomber quelque chose !

- Mon fils : Oui père. Il se mit sur son siège et commença à se servir .

Lorsque mon mari entra dans la pièce, je le saluais en souriant .

- Moi : Bonjour mon chéri

- Mon Mari : Bonjour my lady. Dit-il en prenant ma main et en la baisant tendrement.

Je souriais puis je l'embrassais .

Il répondit à mon baiser plus fougueusement en oubliant presqu'il y avait notre enfant qui nous observait .

- Mon fils : Beurk... Fit-il dégoûté

Il se retira de moi et le regarda .

- Mon Mari : Bah alors , on observe ses parents entrain de se faire des bisous ?

- Moi : Tu en veux aussi ? Dis-je en entrant dans le jeu de mon homme .

- Mon fils : Ah non ! C'est tout baveux et répugnant !

- Moi : Eh bien nous allons t'en donner des baisers baveux et répugnants ! Dis-je en le prenant dans mes bras et en embrassant plusieurs fois sa joue .

Mon mari s'en prît de son autre joue et l'attaqua aussi avec plusieurs baisers .

- Mon fils : Non.. Mère , Père arrêtez ! Dit-il en rigolant énormément .

Nous le lâchions et nous nous mîmes à rire avec lui .

En cet instant , je m'étais dit que j'avais enfin le bonheur que je souhaitais depuis longtemps .

Je me disais aussi que rien ni personne ne pouvait briser ce moment si merveilleux et précieux.

C'est alors qu'on toqua à notre porte , ce qui nous poussa à nous arrêter .

- Mon Mari : Tu attends quelqu'un ?

- Moi : Non pas du tout

Il se leva et prit la direction de la porte puis ouvra.

- Inconnu 1 : Bonjour monsieur

- Mon Mari : Bonjour..

- Inconnu 1 : Vous êtes Mr Harrington ?

- Mon Mari : Oui c'est bel et bien moi . Et vous êtes ?

- Inconnu 1 : Nous sommes les chevaliers de Sir Georges Montero

𝓐𝓭𝓭𝓲𝓬𝓽𝓮𝓭  [ 𝗧𝗼𝗺𝗲 𝟭 ] Où les histoires vivent. Découvrez maintenant